L’importance du poisson d’avril dans le marketing

L'importance du poisson d'avril dans une stratégie marketing

Quand les campagnes de communication pour les fêtes de Pâques se terminent, le poisson d’avril arrive en force. Et ça, ça fait plaisir aux consommateurs et ça redresse la sympathie des marques. Tout le monde y gagne, dans la joie et la bonne humeur. Si c’est pas beau ça !

Quel est l’origine du poisson d’avril ? 

L’histoire et les origines du poisson d’avril sont soumis à beaucoup de débats. On discute souvent la période de l’histoire à laquelle cette tradition aurait commencé. Mais c’est souvent sur la version de Charles IX que se basent les explications. 

Au XVIᵉ siècle, on fêtait le premier jour de l’année le 1ᵉʳ avril. C’est à ce moment-là qu’on distribuait les étrennes et qu’on faisait la fête. Or, le roi Charles IX imposa, en 1654, une nouvelle date de début d’année : le 1ᵉʳ janvier. La majorité des Français ont donc adopté cette nouvelle coutume, mais certains ne pouvaient l’accepter. Ces derniers continuaient à le fêter le 1ᵉʳ avril. Leurs proches, se moquant d’eux, leur offraient alors des cadeaux humoristiques et leur faisaient des plaisanteries. Pas très sympa, mais bon, on est bien contents d’avoir cette tradition aujourd’hui, non ?

 

Pourquoi les marques profitent du 1ᵉʳ avril pour leur stratégie marketing ? 

C’est devenu une tradition pour les marques de faire des poissons d’avril. Bien que oui, elles adorent faire plaisir et rires leurs consommateurs lors d’événements se prêtant à l’humour, il y a tout de même un autre but derrière. En effet, le premier avril est LE moment pour les marques de développer une stratégie marketing au top du top. Mais quels sont les objectifs principaux derrière ces annonces humoristiques ?

Accroître la visibilité de la marque 

L’objectif des marques, derrière une action ou une campagne de communication poisson d’avril est d’abord un gain de notoriété. En effet, toutes les entreprises visent à faire le buzz auprès des consommateurs. Ça ne marche pas forcément à tous les coups, mais au moins les blagues amusent la galerie. 

La visibilité que peut apporter un bon poisson d’avril bien réussi pour une marque est généralement développée sur deux médias différents : les réseaux sociaux et les médias d’information comme les magazines ou journaux d’actualité. 

Les réseaux sociaux permettent une propagation de l’information très rapide, et donc de développer votre visibilité en un temps éclair, auprès d’une très large cible. 

Les médias d’information, que ce soit presse, TV, radio ou même internet, ont une stature plus sérieuse et professionnelle qui va venir crédibiliser votre marque, en plus de lui faire gagner en visibilité au vu du nombre de lecteurs, auditeurs ou spectateurs qu’ils touchent.  

Augmenter le capital sympathie de la marque 

Les consommateurs recherchent de plus en plus de marques innovantes, qui communiquent de manière originale et personnalisée En participant au poisson d’avril, les marques se montrent comme modernes, créatives, drôles et prêtes à tester de nouvelles choses. 

La marque montre qu’elle a fait l’effort de travailler dur pour créer un poisson d’avril recherché et de qualité. Les consommateurs sentent qu’elle s’investit pour eux et une proximité se crée entre les deux. On a tous tendance à mieux aimer quelqu’un qui nous fait un cadeau qui vient du cœur. Si, par exemple, un de nos pandas vous offre un beau bambou taillé, vous allez l’adorer, nan ? Ça vaut peut-être même un câlin…

Tester un insight consommateur en direct 

Bien que certains produits ou services fictifs qui « sortent » le 1ᵉʳ avril sont inconcevables et trop farfelus, d’autres pourraient être réalisables… C’est à ce moment-là que les marques en profitent pour tester la température et voir la réaction des consommateurs face à cette annonce. Soit ça passe, et le produit pourrait être réellement envisagé, soit ça casse et ça reste une blague du 1ᵉʳ avril. Malin, non ? 

Quels sont nos conseils pour créer sa stratégie marketing lors du 1ᵉʳ avril ?

Prenez en compte la période

Réfléchissez à la période dans laquelle se trouve votre entreprise. Peut-être, allez-vous fêter vos 10 ans cette année ou lancer une nouvelle filiale ? Il y a tant d’événements à exploiter pour que votre blague du premier avril fonctionne encore mieux. De plus, cela peut vous permettre d’annoncer la réelle sortie de cet événement par la suite. 

Amusez-vous !

Lorsqu’on est une marque, on essaie de garder une image impeccable et on ne se mouille pas trop. Le 1er avril, c’est l’occasion de se lâcher… sans faire tache. Soyez créatifs, proposez des idées lors des brainstormings, car même l’idée qui semble la plus stupide peut vous permettre de construire une campagne comique originale.

Mettez-vous à la place du consommateur 

Rappelez-vous que derrière votre campagne se cachent des consommateurs qui vont découvrir votre travail. Il ne faut ni les froisser, ni les accuser. Votre campagne doit être drôle sans dénigrer vos consommateurs, sinon ça fait l’effet inverse… et ça on ne veut pas !

Attention au Bad Buzz

C’est justement en créant une campagne trop orientée, dénonciatrice ou juste de mauvais goût que vous vous mettrez en porte-à-faux. Oui, on veut gagner de la visibilité, mais non, on ne veut pas que ce soit à cause d’un Bad Buzz. Surtout que les nouvelles vont vite sur Internet… Alors attention !

De plus, faites bien attention à sortir votre campagne le 1ᵉʳ avril et pas avant, ni après. Nombreuses sont les marques qui se sont déjà fait avoir et qui ont dû s’excuser mille fois de n’avoir pas bien gérer leur blague du 1ᵉʳ avril, tant cela paraissait réel. En même temps, pas facile de savoir que c’est un poisson d’avril si on sort la blague fin mars…

Les 5 meilleurs poissons d’avril des marques cette année

Bien sûr, puisqu’à la bambouseraie, on adore l’humour, on a épluché toutes les campagnes qui sont sorties en ce 1er avril. On vous a sélectionné les 5 meilleures, qui nous ont bien fait rire et bien marqué !

Des nouvelles chaussures… volumineuses, signées Adidas

La marque connue pour ses fameuses bandes a souhaité innover en proposant des chaussures toujours avec ce symbole, mais à la forme différenciante. Elle a décidé de reprendre le design de ses boites de chaussures pour en faire des chaussures. Pas très pratique… on n’est pas sûr que les fashions les adoptent.

Duolingo on ice

En plus de parler toutes les langues, Duolingo sait chanter ! La fameuse application de langues vivantes annonce la sortie de sa comédie musicale sur patins à glace.  Elle s’est donnée tous les moyens de nous épater et on pourrait presque croire que c’est vrai.

Le fameux BIC 4 couleurs, mais plus sécurisé

On a tous connu, un jour à l’école, la disparition de notre beau stylo BIC. Ou alors un filou qui nous a échangé les encres de couleurs à l’intérieur (histoire vraie, mon collègue panda me l’a fait la semaine dernière). Et bien, BIC en a conscience et il a décidé qu’il était temps d’y mettre fin. C’est donc la naissance du nouveau BIC cadenacé, pour éviter tout vol de votre beau stylo !

Decathlon et sa mini-tente Quechua, c’est trop mignon, on craque 

Il n’y a pas à dire, le Decathlon taiwannais est très créatif. Le 1ᵉʳ avril, il a décidé de sortir une mini-tente Quechua, pour lapins ! Dépliable et à la même esthétique, seule la taille est réduite… et la mignonnerie augmentée. 

La RATP est un peu en avance pour les Jeux Olympiques

Dans la nuit du 31 mars au 1ᵉʳ avril, la RATP a renommé plusieurs panneaux des stations du métro parisiens. Bien sûr, avec l’approche des Jeux Olympiques, il fallait rester dans le thème. La station Nation devient donc Natation, Bercy se nomme désormais Bercyclisme et Trocadero s’est transformé en Trocanoë. 

Que faut-il retenir du poisson d’avril des marques ? 

Si votre entreprise a le profil pour faire une bonne blague le 1ᵉʳ avril, foncez. Mais attention, votre campagne comique doit être réfléchie, adaptée à votre audience et ne doit pas être borderline. Sinon, vous frôlerez le bad buzz et ça, ça sent mauvais. Croyez-en notre parole de pandas. 

Pour obtenir la meilleure stratégie créative pour votre campagne de communication lors de cette fête, vous pouvez faire appel à une agence de communication. Vous obtiendrez de meilleurs résultats, sans possibilité de bad buzz pour vos blagues de poissons d’avril.

Pourquoi et comment adopter une démarche RSE au sein de son entreprise ?

Adopter une démarche RSE

Ces trois lettres peuvent vous sembler abstraites et pourtant vous en entendez parler de partout.  “Quelles sont leurs actions RSE ?”, “Ont-ils une politique RSE développée ?”…

La RSE est évoquée dans beaucoup de débats actuels. Elle prend de plus en plus d’importance dans la stratégie des entreprises et est même devenue partie intégrante de celles-ci.  Puisque vous souhaitez vous lancer dans une démarche de responsabilité sociale et environnementale et que vous vous posez des questions, nos pandas vont vous éclairer sur ce qu’est la RSE et comment elle est mise en œuvre par les entreprises !

La RSE, c’est quoi ?

Définition de la RSE

La Responsabilité Sociale des Entreprises ou Responsabilité Sociétale des Entreprises désigne, tout simplement, les moyens mis en place par une entreprise pour répondre aux enjeux du développement durable à moyen ou long terme. 

Quel est le but de la RSE ? 

Elle vise à améliorer les actions de l’entreprise pour répondre aux causes environnementales et améliorer le social et sociétal, en favorisant une meilleure qualité de travail pour les employés.

Souvent les entreprises suivent la norme ISO 26000, un document proclamé en 2010 permettant de guider les entreprises dans leur démarche de responsabilité sociale à travers 7 points clés : 

  • La gouvernance de l’organisation 
  • La contribution au développement local 
  • Les droits de l’Homme
  • Les relations et conditions au travail 
  • L’environnement 
  • La bonne pratique des affaires 
  • La protection du consommateur 

femmes d'origines différentes en réunion travaillant et changeant ensemble

Quels sont les 3 piliers RSE ? 

La Responsabilité Sociale des Entreprises repose sur 3 piliers : 

  • Environnemental
  • Social 
  • Économique (ou sociétal)

Ce sont des leviers sur lesquels capitaliser et baser des actions et pratiques concrètes permettant d’apporter un changement durable dans le monde du travail.

Qu’est-ce que le pilier environnemental ?  

Le pilier environnemental représente toutes les actions mises en place par les entreprises en faveur de la protection de l’environnement. Elles peuvent être réalisées en interne, comme recycler l’ensemble des déchets des employés, utiliser du papier recyclé, alimenter les infrastructures avec des énergies vertes… Mais ces pratiques peuvent aussi être liées à l’externe, en travaillant avec des fournisseurs respectueux de l’environnement, en encourageant à la mobilité durable…

Qu’est-ce que le pilier social ?

Le pilier social est essentiellement axé sur la relation de l’entreprise avec ses employés et les actions mises en place en faveur de la santé au travail, de la qualité de vie au travail… Ce pilier touche directement à l’éthique et aux droits de l’Homme. Il vise la suppression des inégalités et des discriminations en instaurant des actions en faveur de l’équité et de l’égalité sociale.

Qu’est-ce que le pilier économique (ou sociétal) ?

Le pilier économique s’axe surtout sur le local. Le but de l’organisation est de développer une économie locale ou du moins la soutenir. On vise un enrichissement de la société via la production des ressources et services dans une démarche locale. L’entreprise peut s’entourer de parties prenantes responsables, elle peut se fournir auprès de collaborateurs locaux, soutenir des sociétés ou initiatives locales et françaises… Elle se doit d’être transparente sur les actions menées.

mains de différentes personnes se rejoignent au centre pour montrer leur union

Des consommateurs de plus en plus informés

Le monde de la consommation a beaucoup évolué en l’espace de quelques dizaines d’années. Aujourd’hui, on tend vers une consommation plus éthique et responsable. Les consommateurs sont plus sensibles à l’origine des produits, à leurs critères énergétiques, aux démarches inclusives… Ils sont plus à même de comprendre et d’analyser les engagements d’une marque et leur choix se porte plus généralement sur des entreprises ayant une bonne RSE, quitte à ce que le produit final soit plus cher. 

Pourquoi adopter une démarche RSE en tant qu’entreprise ? 

Mettre en place une démarche RSE provient de la volonté de l’entreprise. Ce n’est pas une loi obligatoire et l’implication de l’entreprise va dépendre de son degré de préoccupation par rapport aux trois piliers environnemental, social et économique. 

Plus d’éthique dans le monde du travail

Adopter une démarche RSE en tant qu’entreprise permet tout d’abord de contribuer au développement des piliers et de permettre un changement vers le meilleur et le plus juste dans le monde du travail. Mais au-delà de contribuer au développement environnemental, social et économique, les entreprises ont beaucoup à gagner dans le développement de pratiques RSE.

Une bonne image d’entreprise  

Une entreprise ayant une RSE développée va bénéficier d’une amélioration de l’image de marque, que ce soit auprès de ses employés, futurs employés, de ses clients, de ses collaborateurs… Cela peut être un facteur de différenciation sur le marché, là où les clients pourraient venir vers vous plutôt qu’un concurrent qui ne se préoccupe pas des enjeux actuels et n’est pas responsable. De plus, en termes de recrutement, le développement de la marque employeur est essentielle. De plus en plus d’employés recherchent des entreprises centrées sur une bonne RSE, qui est devenue un critère important.

Réduction des risques 

Développer sa RSE va également permettre à une entreprise de réduire considérablement les risques, que ce soit au niveau social, environnemental et économique. En prenant en compte les évolutions de ces facteurs et en revoyant constamment leurs actions, les entreprises peuvent se protéger plus facilement des faux pas, des scandales, et respectent la loi…

RSE et développement durable sont-ils liés ? 

Pour développer sa RSE, l’entreprise doit connaître en amont les enjeux du développement durable, puisqu’elle s’appuie sur ces derniers. 

La RSE répond aux principes fondamentaux du développement durable : 

  • La lutte contre le changement climatique
  • La préservation de la biodiversité, milieux et ressources 
  • La cohésion sociale et solidarité entre territoires et générations
  • L’égalité Homme/Femme
  • Les modes de production et de consommation responsables 

Il est également important de prendre en compte les 17 Objectifs du Développement Durable. Un plan d’action prévu de 2015-2030, définissant les objectifs du millénaire, tant sur le plan environnemental qu’économique et social.

les 17 objectifs du RSE - AVICOM' - agence de communication Lyon

Quels sont les risques RSE ? 

Les organisations subissent des pressions venant de différents facteurs. Il ne faut ni les ignorer, ni se décourager devant elles. Vous pouvez totalement développer une bonne RSE en vous informant dessus et en les prenant en considération. Le mieux est de suivre leur évolution, voire de les anticiper.

Les pressions potentielles liées à la RSE pour votre entreprise peuvent être d’ordre juridique, financier, commercial ou social. 

Les risques juridiques

Les pressions juridiques vont regrouper toutes les exigences réglementaires menant à des risques de poursuite… De nombreuses lois peuvent freiner le développement de votre RSE.

Les risques financiers

Les pressions financières sont liées aux coûts ou économies liées aux pratiques environnementales et sociales de l’organisation…

Les risques commerciaux

Les pressions commerciales sont liées à l’accès au marché, les conditions contractuelles ou l’image de marque…

Les risques sociaux

Les pressions sociales et sociétales sont de l’ordre des communautés locales, le lobbying, les employés, les ONG, tout ce qui émane de la société et qui pourraient faire barrière à votre entreprise en cas de désaccord avec vos valeurs, vos actions…

Comment intégrer la RSE dans une entreprise ?

Premièrement, il va falloir se fier à un professionnel. De sorte à ne prendre aucun risque dans la gestion de votre stratégie RSE, embauchez un spécialiste ou faites appel à une agence de communication spécialisée dans ce domaine.

La seconde étape est l’analyse interne et externe de votre entreprise, sa communication et la gestion RSE de vos concurrents ou sur votre marché. Pour cela, vous pouvez avoir recours à certains outils d’analyse stratégique comme la matrice SWOT (les pandas vous l’expliquent juste ici). 

Lorsque vous aurez quadrillé l’ensemble de ce qui est fait en termes de gestion RSE sur votre marché, que vous aurez regroupé les actions que votre entreprise fait déjà, et mesuré votre responsabilité, il va falloir s’informer sur les réglementations et évolutions de cette dernière. Regardez ce qui est obligatoire en termes de lois et ce qui est le plus en adéquation avec vos valeurs, votre vision d’entreprise.

Lancez-vous !

Ne vous attendez pas à être les rois de la RSE du jour au lendemain. Vous n’aurez jamais l’ensemble de vos actions RSE parfaitement établies dès le début. Il vaut mieux faire un peu que pas du tout. Alors, ne vous mettez pas en tête que les changements apportés à votre RSE doivent être monumentaux. Vous pouvez commencer par de petits changements, comme le simple tri des déchets ou la sensibilisation de vos employés concernant les déplacements responsables en transports en commun ou à vélo, pour limiter la pollution citadine. 

Après avoir déterminé l’ensemble de vos nouvelles actions RSE, ne vous hâtez pas d’en parler à vos employés. Prenez le temps de tout organiser et de leur communiquer correctement, de manière claire et engageante. Vous pouvez mettre en place une campagne de communication en interne. 

Vous devrez également le communiquer en externe, auprès de vos clients, mais aussi de toutes vos autres parties prenantes. Cela permettra d’améliorer votre image et de montrer que vous êtes transparent et authentique. Vous pouvez bénéficier de labels ou protections officielles pour certifier et légitimer votre engagement environnemental. Vous devrez également publier vos chiffres, faire un reporting annuel, pour certifier de la véracité et l’efficacité de vos actions, via notamment un rapport RSE ou même sur votre DPEF (Déclaration de Performance Extra-Financière)…

Attention au greenwashing !

Mettre en place des actions RSE lorsqu’on veut réellement changer les choses, c’est bien, les inventer ou n’avoir aucune motivation sincère derrière, c’est mal… Et ça vaut des scandales et bad buzz… 

Faites attention à ne pas tomber dans du greenwashing, c’est-à-dire se prétendre plus responsable et engagé qu’on ne l’est réellement. Premièrement, les consommateurs le voient très vite, et deuxièmement… On n’a pas vraiment la conscience tranquille…

champ vert avec un dessin d'œil humain au centre

Que faut-il retenir ?

La Responsabilité Sociale des Entreprises est la considération des enjeux du développement durable (sociaux, environnementaux et économiques) par les entreprises. 

Il n’y a pas de bonne ou mauvaise manière de construire votre politique RSE. Vous n’avez pas besoin d’être parfait sur tous les aspects et de cocher toutes les cases. La démarche de vouloir changer vers un mode de fonctionnement plus écoresponsable, plus égalitaire et équitable est déjà un grand pas, même si vos actions sont minimes au début. 

Alors, lancez-vous, et vous verrez très vite votre performance globale s’améliorer, des résultats apparaître et les bénéfices de ces décisions.