Rétro Noël, les pubs dans l’histoire

Noël, un marronnier pour marquer les esprits.

De Coca Cola, précurseur en 1931, au Père Noël de Bouygues Télécom en passant par les Rennes de Canalsat, replay sur les plus célèbres publicités de Noël !

Coca Cola et le Père Noël, plus qu’une pub 

La fameuse publicité Coca-Cola de 1931 a marqué Noël, notamment grâce à l’illustrateur Haddon Sundblom. Si vous ne connaissez pas ce nom, pas de panique, c’est « juste » le créateur de la représentation moderne du Père Noël. 

Petit point historique sur le Santa Claus. 

Avant la révolution Coca-Cola, l’image du Père Noël n’était pas vraiment fixe et définie. Selon les régions et les cultures, le ciel du 24 au soir devait subir quelques perturbations avec autant de Pères Noël.

Sundblom a donc inventé une représentation unifiée du personnage. Au revoir la tenue verte et bonjour l’ensemble rouge, la couleur de la boisson ! Une association unique qui lie désormais la marque de soda au Santa Claus pour l’éternité.

Les communiqués de l’époque représentaient un Père Noël souriant, rieur, buvant une bouteille de Coca Cola. De quoi donner envie de s’hydrater non ? 

Et oui, depuis ce jour, toutes les communications de Coca ont été réalisées pour évoquer un bon moment et créer une connexion émotionnelle particulière avec le public. 

À l’époque, la campagne a été largement diffusée dans les médias (magazines, affiches…), un véritable coup de boost pour la notoriété de la marque. Pour aller encore plus loin, avec cette stratégie, Coca-Cola ne bénéficie pas seulement d’une augmentation de sa visibilité, c’est en réalité toute sa popularité qui se développe. Coca-Cola devient ainsi la boisson phare de Noël et associe son produit à la magie et à la générosité de Noël.

Grâce à Sundblom et une « simple » illustration, Coca Cola a donné au monde entier une seule et unique vision du Père Noël :  la sienne et celle que nous connaissons tous encore aujourd’hui.

Canalsat prend les rênes

Les publicités de Noël Canalsat ont ravi nos écrans entre 2008 et 2012 grâce à leurs fameux rennes militaires, super-héros, chanteurs ou chevaliers. 

Quand les rennes de Canalsat poussent la chansonnette, on se retrouve avec des publicités mémorables. Mais alors, pourquoi ces publicités ont-elles autant fonctionné ? 

À notre avis, les chants des rennes du Père Noël n’y sont pas pour rien ! On vous explique.

Le marketing audio, ça vous parle ? 

Bon, pour la faire courte, le marketing audio est une stratégie dynamique utilisée par les marques, que l’on retrouve dans notre quotidien. Une approche qui repose sur l’utilisation stratégique de contenus sonores pour engager et captiver le public. 

Musique, baseline ou jingle, la création d’une identité sonore distinctive peut prendre différentes formes. Si l’objectif premier reste d’attirer l’attention de la cible et d’augmenter la notoriété de la marque, le marketing audio est surtout très efficace dans la mémorisation du message. Un marketing unique, qui offre une expérience immersive, stimule la rétention d’information et génère une connexion émotionnelle particulière avec la cible. 

Une stratégie auditive qui fonctionne sur de nombreux canaux dont les plus traditionnels comme la radio, la télévision, les réseaux sociaux ou même sur le print. Oui, parce que même si l’audio n’est pas réellement présent sur ce canal, la répétition et la mentalisation du message peut devenir perceptible dans l’inconscient de la cible. 

Vous n’y croyez pas ? 

Si on vous dit : « Haribo, c’est beau la vie, pour les grands et les petits ». 

Alors, vous avez lu la phrase en chantant non ? 

Le marketing audio est donc l’idée qu’une marque soit associée à un son, une musique, bref, une identité sonore à part entière, et ce, au même titre que son identité graphique. 

Pour en revenir à nos rennes, leur chanson entraînante nous reste en tête et nous évoque la marque Canalsat aux premières notes. Avec une forte répétition du message et un concept bien particulier, oui parce que des rennes qui parlent et qui chantent, ça interpelle, Canalsat a réussi à créer un réflexe sonore auprès du grand public. Impossible pour nous de ne pas penser aux rennes de Canalsat en entendant cette chanson.

Une connexion qui résonne avec la magie de Noël, mais aussi le positionnement et la communication globale de la marque. Une stratégie payante, qui a permis d’établir des liens durables et significatifs entre la marque et son public.

D’ailleurs, cette pub est souvent citée comme l’une des plus mémorables des dernières années… Nostalgie quand tu nous tiens ! 

Call Père Noël (maybe)

En 2022, Bouygues Télécom réalise une campagne publicitaire délivrant le numéro WhatsApp du Père Noël ! Depuis le temps qu’on cherchait à le contacter autrement que par lettre. 

Une stratégie de communication qui prend la forme d’un numéro gratuit permettant d’envoyer un message au fameux papa Noël. En échange, l’émetteur du message reçoit une vidéo personnalisée directement depuis la Laponie. Concrètement, il suffit aux parents de rédiger un texte que le faux Père Noël (pardon, il ne fallait pas le dire ?!) lit ensuite sur le réseau social WhatsApp.

Quoi de plus magique que d’avoir une vidéo digitale du Santa Claus ?

Une stratégie marketing innovante de la part de l’opérateur de télécommunications français grâce à un canal de diffusion inédit : WhatsApp. Un service de messagerie généralement utilisé pour discuter avec nos proches, familles, amis… 

En utilisant l’application du groupe Meta comme un véritable réseau social, Bouygues Télécom créé un véritable lien de proximité avec sa clientèle. Bouygues Télécom fait partie de la famille ! 

Avec cette stratégie de marketing digital, la marque veut le Père Noël viral et veut surtout engager sa communauté. Pour aller encore plus loin dans les interactions et l’engagement de la cible, Bouygues Télécom met en place un hashtag spéciale pour sa campagne marketing. Le #AlloPapaNoel permet donc au grand public de partager ses vidéos sur les réseaux sociaux ! Un hashtag simple qui permet à la marque de renforcer son image de marque, développer son influence sur les réseaux sociaux et de booster sa visibilité sur un des moments clés de l’année. 

Avec ces nombreuses interactions, la marque renforce sa notoriété et crée une expérience mémorable auprès de son public-cible, mais aussi auprès du grand public. Une stratégie qui va au-delà d’une simple communication unidirectionnelle, puisqu’elle invite véritablement à la participation et à l’engagement. 

Le résultat ?

En incluant les consommateurs dans le fonctionnement de la campagne, ces derniers sont beaucoup plus susceptibles de se souvenir de la marque. L’interaction recherchée suscite des émotions et une expérience consommateur positives qui influencent directement sur la maturité des prospects et leur capacité à convertir. 

Bouygues Télécom propose la véritable magie de Noël ! 

En invitant le Père Noël, la campagne se positionne dans le contexte des fêtes de fin d’année. Un invité de choix qui apporte une atmosphère chaleureuse et festive à la campagne qui résonne avec l’ambiance générale de la période. La marque évoque des sentiments de joie, de générosité et de partage. Ces émotions positives qui collent aussi avec les valeurs de la marque et touchent au plus près la cible. 

Si l’action de communication de Bouygues Télécom semble assez innovante, elle rappelle malgré tout une ancienne campagne… Ce principe de numéro pour contacter la personnalité préférée des enfants ne serait pas l’héritier 2.0 du 3630 ? 

Sur le papier, le fonctionnement est le même : de l’interaction avec la communauté et une campagne d’engagement autour d’une figure universelle, le Père Noël. Les canaux utilisés sont simplement différents. Et oui, les habitudes consommateurs évoluent, le numéro de téléphone 3630 est remplacé par un message WhatsApp. Plus rapide, plus simple et surtout adapté aux mœurs de la cible. 

Si ce changement de canal peut simplement s’apparenter à une adaptation de la marque à sa clientèle, aux évolutions des technologies modernes et aux habitudes de consommations, c’est également une stratégie de collectes de données bien plus efficace. 

Grâce à ce message au Père Noël, Bouygues Télécom récolte ainsi des milliers de numéros de téléphone et le contenu de chaque conversation.

Et devinez, quoi, cette année Bouygues Télécom réitère l’expérience ! 

Après le succès de la campagne de 2022, près de 800 000 utilisateurs et plus de 3,6 millions de vidéos, l’opérateur utilise une nouvelle fois la technologie avec un Père Noël version IA cette fois-ci. De quoi fidéliser les précédents utilisateurs et attirer de nouveaux clients potentiels.

Le principe se rapproche de celui de 2022, en envoyant quelques mots et le prénom de l’enfant, vous obtenez une vidéo personnalisée du Père Noël ! La particularité, c’est que le texte est créé de toute pièce par Chat GPT ! Une vidéo et un conte personnalisés pour le plus grand bonheur des petits comme des grands.

Est-ce le début de l’IA dans la publicité ? 

Avec l’IA générative d’image qui est de plus en plus performante ou encore la montée de l’IA générative vidéo, quel est l’avenir de la communication ? 

Si ce n’est surement que les prémices de cette nouvelle pratique, certaines marques comme Heetch ont déjà dénoncé les limites de cette nouvelle technologie. Affaire à suivre…

Les bonnes résolutions pour 2024

Les résolutions de la nouvelle année, ces promesses que nous tenons que quelques mois…
Cette année, il y a des résolutions à ne pas manquer. RGPD, marketing responsable et éthique numérique, voici nos indispensables de la communication pour 2024 !

Résolution n°1 : Le Règlement Général sur la Protection des Données

Ah le RGPD… Entre traitement des données, cookies et transparence, le Règlement Général sur la Protection des Données est parfois un vrai casse-tête pour les entreprises. Bon, pour vous aider, on vous propose quelques tips pour rester dans les clous. 

RGPD, d’accord, mais concrètement qu’est-ce que cela veut dire ? 

L’objectif du Règlement Général sur la Protection des Données est de sécuriser nos informations personnelles. Pour cela, les entreprises doivent avoir une gestion transparente des données récoltées, le tout en demandant l’accord des internautes. Une pratique qui renforce la confiance des clients, mais qui évite surtout toute fraude ou abus dans l’obtention et l’analyse des données personnelles.Sur le papier, le RGPD semble être une approche plutôt simple. En réalité, garantir la confidentialité et la sécurité des données est parfois un peu plus complexe. Alors pour éviter les sanctions, on vous partage nos petits conseils à adopter pour votre site internet !

Conseils n°1 : Soyez clair, net et précis !

Concevez votre propre politique de confidentialité claire. Expliquez quelles sont les données collectées (à caractère personnel ou non), pourquoi elles sont collectées et leur durée de conservation. En plus de cela, votre politique doit être accessible partout et à tout moment. On vous conseille donc de la placer dans le footer de votre site internet.

Conseils n°2 : Non, c’est non !

Le consentement est l’un des piliers du RGPD. Vous devez obtenir le consentement explicite des utilisateurs. Pour cela, rien de mieux qu’un bandeau de cookies, clair et catégorique sur le refus ou l’autorisation cookies par les visiteurs de votre site web.

Conseils n°3 : Le retour en arrière, c’est possible !

Chaque utilisateur doit avoir la possibilité de réviser ou retirer son consentement s’il le souhaite. Tips de panda : intégrez un bouton flottant sur votre site pour permettre à l’utilisateur de corriger ou supprimer son consentement.

Conseils n°4 : Qui a le droit ? (On t’aime Patrick)

L’ensemble des utilisateurs ont le droit d’accès, d’interrogation, de rectification, d’effacement, de limitation et de retrait du consentement et d’opposition au traitement de leurs données. Alors, oui, ça fait beaucoup, mais, cette mention doit être clairement inscrit dans votre politique de confidentialité. On vous conseille également de partager une adresse (email ou postale) à laquelle ils peuvent écrire pour exercer ce droit.

Conseils n°5 : La sécurité avant tout ! 

On ne vous le dira jamais assez, mais sécurisez votre site !! Alors, voilà quelques bonnes pratiques pour éviter les fuites de données :

Créez un certificat SSL

  • Installez un plugin de sécurité si vous travaillez sur un CMS ou un pare-feu 
  • Faites vos mises à jour (plugins, thèmes, CMS) surtout celles de sécurité
  • Sécurisez vos formulaires de connexion (changer l’URL de connexion si on utilise un CMS avec une URL de connexion de base)
  • N’utilisez pas des identifiants trop commun (ex. admin, administrateur)
  • Mettez en place la double authentification

Bon, si vous voulez en savoir plus sur les obligations en matière de données et les bons réflexes à adopter, on vous conseille le site de la CNIL et sa page Comprendre le RGPD.

Résolution n°2 : Le renouveau des réseaux sociaux 

Rien de bien nouveau, mais les réseaux sociaux seront toujours l’une des stars de 2024.

La communication sur les plateformes sociales reste une valeur sûre pour les marqueteurs. Revers, en revanche sur les stratégies social media adoptées ! Cette année misez sur une communication responsable, en privilégiant la transparence, l’authenticité et les interactions avec votre communauté !  On vous explique.

Créer une communauté, de l’interactivité

Communiquer de manière unilatérale ne suffit plus pour être performant sur les réseaux sociaux. Logique quand on pense que les médias sociaux ont d’abord été créés pour augmenter et fluidifier le partage d’informations entre communauté.

Chez les pandas, on vous conseille donc de vous lancer dans la production de contenus interactifs et engageants pour la cible. Les quizz, sondages et autre stories sont évidements des publications efficaces dans ce domaine. 

Pour booster votre engagement, rien de mieux que la vidéo. Contenu roi de 2024, le format vidéo offre non seulement une expérience utilisateur engageante, mais aussi un taux de rétention bien plus intéressant du côté des marques. 

Pour les marketeurs, la vidéo permet aussi de recueillir différentes données sur le comportement et les préférences des consommateurs. De quoi enrichir votre base de données et votre remarketing. 

La proximité et l’interactivité avec votre communauté sont une des clés pour capter l’attention et engager vos abonnés. Au-delà de l’engagement, le contenu interactif est l’opportunité idéale pour augmenter la mentalisation de votre marque et créer toute une expérience utilisateur autour de vos réseaux sociaux.

De quoi se différencier, gagner en notoriété et qui sait d’attirer de nouveaux clients sur vos médias sociaux.

Du marketing d’influence authentique  

L’année 2023 a été marquée par la question de l’influence en France. Une pratique qui a fait débat et qui a amené une nouvelle loi qui vise à encadrer l’influence et à lutter contre les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux. 

Pour 2024, on ressert donc les vis de l’influence.

Le marketing d’influence tend désormais vers une communication éthique, transparente et avec une bonne dose de bienveillance.

Si la proximité avec la communauté passe par un choix stratégique de l’influenceur et du type de collaboration, il est maintenant nécessaire d’être transparent. 

Chaque contenu en partenariat doit pouvoir être clairement identifié par les socionautes comme collaboration commerciale. Votre audience peut ainsi faire la distinction entre un contenu sponsorisé et un contenu personnel. 

L’objectif ? Renforcer la relation entre les marques et leurs consommateurs, mais pas que…

Et oui, sans cette mention (qui peut faire toute la différence), vous vous exposez à des sanctions plus ou moins importantes. Ça serait dommage de prendre une amende non ?

Globalement, l’influence est toujours une stratégie d’actualité pour 2024, mais son utilité sera plus encadrée et moins agressive pour les internautes. D’ailleurs, si vous voulez en savoir plus sur le marketing d’influence, ses bénéfices et ses risques rendez-vous sur notre blog ! 

Le social commerce, comme fonctionnalité phare

Le social commerce, qu’est-ce que c’est ? C’est la rencontre entre les médias sociaux et l’e-commerce. 

Depuis quelques années, les plateformes Instagram, Facebook, TikTok et Pinterest ont intégré des fonctionnalités d’achat direct, permettant aux utilisateurs de procéder à des achats sans même quitter l’application. Sans très grande réussite, le social commerce est désormais de plus en plus performant.

Une nouvelle forme de commerce qui permet aux marques d’augmenter leur taux de conversion et de cibler un public plus vaste.

Et si vous passiez à la vente de vos produits directement sur les réseaux sociaux ?

Eco-friendly, mais pas greenwashing

Parler sur vos initiatives eco-friendly sera sûrement l’un des piliers de votre communication en 2024. Une tendance croissante qui s’inscrit dans la montée du RSE dans les entreprises.

Si vous aussi, vous souhaitez communiquer sur l’écologie, attention au greenwashing !

Petit rappel, qu’est-ce que le greenwashing ?

Pratique commerciale trompeuse, le greenwashing suggère de manière erronée qu’un produit ou service a un impact positif ou neutre sur l’environnement.

Une stratégie encore trop souvent utilisée par les entreprises, mais qui est aujourd’hui de plus en plus dénoncé par les organisations et surtout par les consommateurs eux-mêmes. 

Pour ce qui est des risques, en plus d’un gros bad buzz, vous pourriez même être condamné. Et oui, le greenwashing est désormais punissable par la loi, pouvant aller jusqu’à deux ans d’emprisonnement, 300 000€ d’amende et 80% du prix des dépenses de la réalisation de la campagne. 

L’outil de l’ADEME vous aidera à vérifier que votre message publicitaire ne fait pas du greenwashing.

Alors, pour éviter de tomber dans le piège du greenwashing, voilà quelques guidelines de panda : 

  • Misez sur la transparence de ce que vous annoncez. Pour cela, rien de mieux que des preuves ou exemples concrets.
  • Attention à la cohérence ! Que ce soit dans votre communication, dans votre packaging, dans vos actions ou même dans la composition même du produit, votre communauté doit retrouver une certaine harmonie.
  • Les consommateurs doivent pouvoir vérifier facilement vos informations. Oui, parce que le dire c’est facile, mais rendre accessible ces informations, c’est mieux ! 
  • Pour finir, n’en faites pas trop. De manière générale, les entreprises qui abusent d’une communication dite éthique sont parfois celles qui justement ne le sont pas vraiment.

Dernier conseil, mais pas des moindres, si votre entreprise n’est pas vraiment branchée écologie, évitez d’adopter un ton eco-friendly ou toute communication pompeuse. Restez sobre, mieux vaut ne rien dire que de mentir !

Pour conclure ce chapitre sur les résolutions, en 2024 comme pour toutes les années, la règle générale reste la veille ! Restez informé sur les dernières nouveautés, les tendances et les différents changements du marketing pour anticiper et améliorer votre stratégie.

Le catalogue de jouets évolue

Avant le 25 décembre, rédiger sa lettre au Père Noël est un moment incontournable pour les petits comme pour les grands !

Et bien sûr, quoi de mieux que le catalogue de jouets pour entourer, découper et coller vos jouets préférés ?

Et, si cette option, n’était bientôt plus possible ?

Si les catalogues de jouets génèrent plus 60% de la fréquentation lors de la période de Noël pour certaines enseignes et près de 700 millions d’euros de chiffre d’affaires pour les enseignes de jouets françaises sur l’année, les restrictions d’impression mettent en danger toute cette industrie.

Terminé le papier et les sessions DIY avec le catalogue, les magasins de jouet devront se réinventer pour garder leur rythme actuel. Le mailing est donc dépassé et laisse place à un nouveau marché. 

Une révolution dans le monde de l’imprimerie qui incite les enseignes à tendre vers un marketing beaucoup plus précis aux dépens du mass market. 

Un bouleversement pour les traditionnels catalogues

Les catalogues produits imprimés sont les messagers incontournables de la saison des fêtes. Un moment magique qui permet aux enfants de faire leur sélection des jouets qu’ils souhaitent au pied du sapin. Bien plus qu’un simple imprimé publicitaire, le catalogue est un point de contact clé avec la cible qui contribue à l’amélioration de votre relation client.

Pourtant, ces emblématiques supports seraient en voie d’extinction.

La montée de la prise de conscience écologique ajoute de nouvelles restrictions à l’industrie de l’impression, affectant grandement la diffusion des publicités print (flyers, affiches, catalogues…). 

En témoigne les 14 zones en France où la distribution de prospectus dans les boîtes aux lettres est interdite, sauf mention contraire. Et oui, maintenant le sticker « stop pub » devient « oui pub ». Ces zones pourraient-elles s’agrandir avec le temps et amener à la disparition des catalogues papier ? 

Sans surprise, la réponse est oui. Une possibilité qui deviendra bientôt une réalité et qui encourage les agences, comme les annonceurs, à anticiper leur stratégie de communication. 

Mais alors, quid du catalogue de jouets ?

Le support, imprimé à 40 millions d’exemplaires par an pour les enseignes de jouet, risque potentiellement de ne plus être distribué par courrier.

Certaines entreprises ont donc commencé à anticiper ce changement, avec une numérisation de leurs catalogues. 

D’autres ont choisi une stratégie de drive-to-store : la clientèle est incitée à récupérer le catalogue en magasin. Et pour finir, certaines ont même décider de déposer leur catalogue directement chez des buralistes. 

Les enseignes de jouets regorgent donc d’idées pour faire parvenir les 40 millions d’exemplaires à leur public cible. Une réflexion qui ne s’arrête jamais et qui pousse d’ailleurs les marques à se réinventer. 

Alors, comment être novateur, créatif, revoir ses moyens de diffusion ou même son format, tout en restant efficace ? 

Comme d’habitude, on a quelques idées derrière la tête. Et oui, les pandas vous proposent quelques pistes de réflexion pour faire face cette transformation. 

Amener au changement 

La prise de conscience écologique fait évoluer la société et ses pratiques. En témoigne les nombreuses campagnes écologiques, de développement durable ou même l’explosion du RSE chez les entreprises.

Alors, pour rester dans la course, il faut savoir se réinventer ! Mais comment ?

Le catalogue numérique est évidemment une piste à envisager.

Certaines marques ont d’ailleurs déjà commencé le processus avec des catalogues de Noël numériques. Une solution efficace qui tombe un peu à l’eau lorsqu’on s’aperçoit que la majorité de ces supports web ne sont pas assez optimisés ni responsive.

Outre les problèmes techniques et technologiques, le catalogue web peut devenir un frein pour les habitués de la version papier. Et oui, vos enfants (ou petits enfants) ne pourront plus découper et coller leurs jouets favoris. Quant à vous, vous ne pourrez plus errer dans les rayons de votre magasin de jouet préféré, Lettre au Père Noël à la main.

Bon, la version numérique est malgré tout une solution prometteuse. 

L’arrivée du catalogue web et interactif ouvre la voie à de nouvelles fonctionnalités. 

Le partage du support via mail, message, ou bien sur les réseaux sociaux, avec sa famille et ses amis. La modification de sa liste en un clic ou même l’impression à la maison, pour une liste de Noël plus “traditionnelle” mais on vous l’accorde, bien moins écologique.

Au-delà de cette transformation technologique, le catalogue digital est une opportunité d’améliorer l’expérience utilisateur et de stimuler l’interaction avec les prospects. 

Une idée simple et innovante qui permettrait aux enfants de parcourir le catalogue de jouets en ligne et de facilement faire glisser leurs préférences dans la liste présente sous forme de pop-up interactive. Pour aller plus loin, il est même possible de reprendre les codes du catalogue physique : découpage, collage, coloriage…

L’expérience d’achat devient alors plus engageante pour les enfants tout en offrant aux parents une solution bien plus pratique. 

Cette réflexion devient même un avantage conséquent pour les marques.

Avec un support web comme celui-ci, la collecte de datas globales et des données plus précises comme les préférences clients est devenue une aubaine pour les annonceurs. C’est, en effet, grâce à ces données que les enseignes de jouets pourront améliorer leur stratégie marketing en personnalisant les offres, informer plus efficacement, sans oublier l’utilisation du retargeting comme arme secrète.   

C’est avec toute cette réflexion que le catalogue s’inscrit dans votre stratégie e-commerce et dans votre marketing digital.

La création d’un système de liste digitale pour les magasins de jouets s’intègre dans une perspective d’innovation centrée sur l’expérience client. En combinant l’aspect pratique pour les parents et l’aspect ludique pour les enfants, cette fonctionnalité pourrait devenir un atout majeur pour se différencier, renforcer la fidélité de ses clients et stimuler les ventes.

Un ciblage catalogué

Si à l’avenir, les catalogues ne peuvent plus être distribués à domicile, la problématique de la distribution reste importante.

Le catalogue ne peut plus venir à vous, alors vous viendrez à lui !

L’exemple du catalogue de jouet disponible chez son buraliste en est l’exemple parfait. 

L’objectif est simple : maximiser l’efficacité du catalogue en l’amenant vers les consommateurs les plus susceptibles d’acheter. Non seulement, cette approche stratégique optimise l’impact et les performances de votre campagne, mais elle élimine aussi le gaspillage papier, pour une empreinte plus écologique.

On le sait, ce type de support est davantage destiné aux enfants et aux familles. Sa distribution pourrait donc être stratégiquement orientée vers des lieux où le public cible est présent ou de passage. Les cinémas, les parcs d’attractions, les clubs de sport, les écoles de musique… Bref, des lieux et points de vente que la cible côtoie. 

En réalité, c’est ce qu’on appelle de l’inbound marketing et devinez quoi, ça marche !

Bon, vous l’aurez compris, entre le catalogue papier qui bat de l’aile et le numérique qui a encore un long chemin à parcourir, le catalogue de Noël n’a pas fini de nous surprendre. Un support de communication qui a encore un bel avenir, avec un nouveau format à définir.

Mais, une chose est sûre, catalogue ou pas, il y aura des cadeaux pour tout le monde !

Les stars et les marques, un combo dangereux ?

Georges Clooney et Nespresso, Kanye West et Adidas, Jul et Oasis… La collaboration entre marque et célébrité est un jeu lucratif et un gain de notoriété pour les deux parties. Mais attention à son image de marque et aux conséquences d’un bad buzz.

Les atouts des collaborations

Les personnalités publiques disposent d’une influence puissante, qui ont la capacité de changer les opinions et les comportements des consommateurs. Ce sont des leaders d’opinion, en témoigne la chute temporaire de 4 milliards de dollars de la capitalisation boursière de Coca-Cola en 2018, quand Cristiano Ronaldo enlève de devant lui une bouteille de la marque en interview.

Cette influence est un levier pour les marques, une opportunité de toucher une audience diversifiée. Les collaborations donnent l’occasion aux marques de capitaliser sur la notoriété et la crédibilité des célébrités, élargissant ainsi leur visibilité et stimulant l’engagement.

Les consommateurs recherchent plus qu’un simple produit ou service, ils veulent une expérience. Les partenariats entre marques et célébrités créent ce sentiment qui apporte au consommateur un lien de proximité, de partage avec cette dernière.

Un élément de réassurance qui peut pousser la cible à la conversion ou en tout cas à l’action beaucoup plus facilement. Un atout pour les marques qui se servent de l’image et de l’influence de son ambassadeur comme d’un avantage concurrentiel par rapport à leurs concurrents.

Au-delà de cet aspect commercial, l’utilisation de la collaboration avec une star qui partage les valeurs de la marque crée une connexion authentique entre la marque et les consommateurs. La célébrité permet de faire partager à sa communauté le produit en question et ses valeurs.La fusion des esprits créatifs entre les influenceurs et les agences de communication peut donner vie à des idées innovantes. L’association entre Jul et Oasis, a donné lieu à un son et un clip fruités composés avec le rappeur marseillais.

Les risques des collaborations

La réputation d’une personnalité publique peut changer entre scandales et opinions controversées qui affectent rapidement la vision du public sur la personnalité en question.

Pour la marque, cela signifie que la confiance acquise peut rapidement chuter. L’association de son image de marque à celle de la réputation d’une personnalité est un risque important.

Votre image de marque se lie à l’ambassadeur, c’est pourquoi il faut veiller à ne pas en devenir dépendant, pour ne pas être vulnérable en cas de départ ou de controverse de la personnalité.

Adidas et Kanye West en est un exemple parfait. Adidas a souhaité en 2022 mettre fin à son contrat avec le rappeur américain à la suite de ses propos controversés. La marque ne voulait plus être associée à l’image du rappeur.

Sa collaboration avait amené la création d’une série de chaussures « Yeezy », qui faisait une part importante du CA d’Adidas. La rupture du contrat a mis fin à la vente du modèle et a provoqué une perte financière importante, 1,2 milliard d’euros. Adidas a néanmoins écoulé ses stocks durant l’été 2023 en remettant en vente ses chaussures, mais a dû justifier cette décision. C’est pourquoi, une partie des revenus générés par la vente de Yeezy a été remise à des ONG luttant contre l’antisémitisme et le racisme. Les pertes économiques d’Adidas sur cette affaire sont minimes comparées à l’image néfaste qu’aurait engendré la suite de la collaboration.

Une célébrité peut être éphémère, faire le buzz, être au sommet puis retomber dans l’anonymat. Ce facteur est important à prendre en compte et doit être anticipé par les marques. La diversification des stratégies marketing est essentielle pour atténuer le risque de dépendance envers un seul ambassadeur et s’assurer une stabilité à long terme.

Dans l’univers du marketing, la collaboration entre une célébrité et une marque a une importance stratégique capitale.

La personnalité incarne bien plus qu’une image : elle dispose d’une influence, par son nombre de followers, ces mentions, son image, son identité, son nom, sa popularité qui fait que sa voix résonne auprès de l’audience. Du côté de la marque, le choix de cette figure nécessite une stratégie marketing minutieuse. La célébrité possède-t-elle une bonne réputation et e-réputation ? Son secteur d’activité est-il cohérent avec le vôtre ? Quelle pourrait être sa valeur ajoutée ? Sa communauté concorde-t-elle avec votre public cible ? Toutes ces questions sont nécessaires pour choisir le bon ambassadeur de votre marque et accroître votre notoriété et/ou renforcer / dynamiser votre image de marque.

Pas de panique à avoir

Les collaborations avec les stars sont une occasion de marquer les esprits et de booster sa communication, mais il faut simplement en connaître les risques. Il faut construire une stratégie logique et pertinente par rapport à son public cible. Une stratégie d’influence bien intégrée permet d’amener des partenariats mémorables pour les marques, les influenceurs et les consommateurs. La majorité des campagnes réalisées avec des célébrités sont des réussites comme Oasis avec Jul ; la SNCF avec Gaël Faye ; Uber One avec Robert De Niro et Asa Butterfield ou l’inévitable Georges Clooney et Nespresso !

What else ?

Un achat d’espace media pertinent, c’est une stratégie intelligente

La Sphere de Las Vegas. Salle de spectacle et panneau publicitaire géant. 54 000m² d’écran pour un prix d’achat d’espace moyen de 450 000$ pour 4h d’affichage. Les espaces média jouent un rôle essentiel dans votre stratégie et l’élaboration de votre plan média.

Focus sur la TV segmentée, un nouvel espace pertinent pour vos futures campagnes.

L’achat d’espace média ?

Un espace média est un emplacement réservé à la diffusion d’une annonce publicitaire. Il peut se présenter sous forme de bannières internet, radio, télévision, replay, affichage, presse… Le prix d’un achat d’espace média n’est pas fixe, il varie selon la période de diffusion, la saison, la durée, des conditions…

À certaines périodes de l’année, les prix peuvent varier. C’est par exemple le cas du mois de septembre qui est souvent surchargé par les marques qui veulent diffuser leurs communications de rentrée. À ce moment-là, les prix des achats d’espaces sont donc souvent plus élevés, liés à la forte demande.

À contrario, le mois d’août offre des tarifications souvent plus basses étant donné la baisse de demande des annonceurs de diffuser leur publicité. En effet, les villes étant plus désertes à ce moment de l’année, l’impact est souvent réduit.

Une diffusion cohérente sur différents médias

Ce qui détermine vos achats d’espace média, c’est la stratégie de ciblage que vous allez mettre en place en fonction des objectifs de la campagne publicitaire.

Quelle est votre cible ? Un marketing différencié ? Un marketing de masse ? Un marketing cross canal ?

Votre ciblage va se concentrer sur l’âge de votre cible, ses centres d’intérêts, sa localisation ou encore son comportement… pour cibler les profils types de consommateurs les plus susceptibles de consommer l’offre ou le service proposé.

Toutes les cibles ne consomment ni les mêmes médias, ni au même moment de la journée et le message publicitaire diffère selon la cible. Les montes-escaliers Stannah sur les réseaux sociaux ? C’est non, la cible n’est pas sur ce média (ou très peu), mais attendons quelques années, ça arrivera surement !

Pour qu’une campagne de communication soit retenue, il faut en moyenne la visualiser 7 fois. D’où l’importance de créer un plan média intelligent, afin de multiplier les points de contact ainsi qu’avoir une répétition réfléchie sur chacun des supports de communication utilisés.

La TV segmentée : un nouveau média

La TV segmentée consiste à cibler les destinataires des messages publicitaires sur les télévisions, grâce aux données collectées par les box internet. C’est un système qui est plus pertinent pour atteindre vos cibles. Grâce aux données collectées il est possible de connaître leurs centres d’intérêts, leurs localisations…

L’utilisation de critères préalablement établis permet de cibler de manière précise l’audience.

Grâce à ce type de média, il devient alors possible de diffuser votre publicité exclusivement à votre public cible, assurant ainsi qu’elle soit visionnée par les personnes que vous souhaitez atteindre.

En effet, cela n’a pas pour but de toucher un large public, mais plutôt de focaliser vos efforts de communication sur une audience spécifique. Par exemple, si la salle d’escalade lyonnaise Hapik souhaite faire de la publicité, sa cible principale sont les Lyonnais. Avec la TV segmentée, Hapik pourra diffuser sa campagne TV sur des chaines classiques, mais seuls les Lyonnais pourront la visualiser grâce au filtre de géolocalisation de la campagne.

D’ailleurs c’est exactement ce qu’on a fait, pour en savoir plus, rendez-vous sur notre page projet Hapik !

La Sphere de Las Vegas

Un espace média qu’a déjà pu s’offrir l’entreprise Microsoft pour la promotion de sa nouvelle Xbox, puis Playstation le lendemain pour la sortie de Marvel’s Spider-Man 2. Mais dans quel but ?

Ce nouveau format d’affichage ultra innovant, est une véritable prouesse technologique et un nouveau terrain de jeu pour les marques.

Bon, communiquer sur cet espace est certes un budget conséquent mais c’est surtout l’occasion de « faire le buzz », être relayés sur les médias sociaux, aux infos… de quoi faire parler de la marque. Avec ces airs futuristes cette sphère impressionne et interpelle ! Utiliser des nouveaux espaces médias permet à une marque de rentrer dans une autre dimension et de se différencier. Imaginez votre campagne sur une sphère gigantesque à Las Vegas ou en hologramme !

Bref, si on devait vous donner un conseil, le choix de vos espaces médias devra être étroitement en lien avec le plan média établi en amont.L’achat des espaces médias ne doit pas être pris à la légère et ne doit pas être fait au hasard. Une bonne stratégie peut perdre toute son efficacité si elle est mal diffusée, compromettant ainsi le message publicitaire, les audiences… les résultats de la campagne publicitaire.

Mot du panda : Casser les clichés, Heetch VS Midjourney

La publicité peut véhiculer des représentations stéréotypées, clichées (voire racistes, sexistes…) de certains lieux, personnes… Mais elle peut aussi être utilisée afin de lutter contre les stéréotypes en les supprimant de ses communications.

Heetch lutte contre les clichés de la banlieue !

Adieu les stigmatisations !

Les campagnes publicitaires véhiculent parfois des stéréotypes liés au sexe, au genre, à l’âge, à la couleur de peau ou à d’autres caractéristiques qui façonnent les mentalités et les attitudes.

Les publicités stéréotypées peuvent involontairement renforcer des préjugés sociaux et les rôles sexués ancrés dans la société. Par exemple, des stéréotypes liés au genre peuvent contribuer à perpétuer les représentations sexuées, qui transmettent une catégorisation liée au genre. Ce qui marginalise les individus en dehors de ces normes.

Un rapport du CSA de 2017, montrait que les hommes étaient surreprésentés dans les publicités de banques, d’assurances, de voiture et dans les rôles d’experts (82% des hommes), pour détailler les spécificités du produit. À l’inverse, les femmes sont surreprésentées dans les publicités de parfum, vêtements, produits médicaux et sont davantage sexualisées.

Ce rapport dévoile la non-parité et l’absence d’égalité entre les hommes et les femmes. Il y a une catégorisation des genres basée sur les préjugés, en montrant qu’il y a des rôles pour les hommes et d’autres pour les femmes. Les publicités ont le pouvoir de lutter contre les discriminations, stéréotypes et ne doivent pas refléter les inégalités de la société.

Les marques ont une responsabilité sociale croissante en évitant de véhiculer les stéréotypes tenaces. En bannissant les clichés et en optant pour une publicité plus réfléchie et diversifiée, les marques peuvent contribuer à construire une culture publicitaire plus inclusive, respectueuse et égalitaire. Loin des stéréotypes !

Pas de hic chez Heetch

C’est dans ce contexte que Heetch propose une campagne contre les clichés, stéréotypes et rétablir la vérité sur les banlieues.Le service de VTC, leader sur les courses en banlieue, souhaite lutter contre les préjugés. L’IA Midjourney véhicule des stéréotypes en représentant des quartiers : délabrés, taggés, voitures brûlées, population stigmatisée… Pour retirer ces visuels négatifs (et faux), Heetch a développé sa nouvelle campagne sur une base de données avec de véritables photos de banlieue (loin des visions stéréotypées de Midjourney). La marque va plus loin en créant des cartes postales, disponible dans les banlieues victimes de stéréotypes et dans les voitures Heetch. Pour déconstruire ces préjugés, les cartes sont envoyées par la suite aux 11 employés de Midjourney !

Une campagne éducative et originale de la part de Heetch ! La marque a montré qu’ils étaient les leaders sur les courses de banlieue, sans tomber dans les clichés habituellement véhiculés. Au contraire, Heetch a dépassé et brisé les stéréotypes. Le fait d’avoir choisi un sujet de société permet de donner une résonance à la campagne.

Dans la campagne de Heetch, il n’y a pas de hic !