Pourquoi et comment utiliser le storytelling dans votre communication ?

Alors qu’un nouveau partenaire arrive à l’agence pour confier sa communication à nos pandas, ils sont dans une impasse. Nos experts bicolores ne trouvent pas la solution idéale pour marquer les esprits des consommateurs et promouvoir l’offre de leurs clients ! Que faire ? En consultant les dernières tendances, nos pandas découvrent la technique du storytelling. Sans plus attendre, ils l’utilisent dans leur travail et aboutissent à une campagne percutante et unique, comme toujours ! 

Un court récit – fictif bien sûr, car nos pandas sont experts en storytelling, et aujourd’hui, ils vous donnent toutes les clés pour que vous deveniez un as de cette pratique ! Le storytelling, ou communication narrative en français, est une pratique de communication très répandue. Mais de quoi s’agit-il et comment la mettre en pratique ?

Le storytelling, qu’est-ce que c’est ? 

La technique du storytelling consiste à utiliser dans sa communication les codes narratifs. Parmi eux, on retrouve différents schémas narratifs, comme le schéma traditionnel, que nous connaissons tous : le lecteur est introduit à une situation initiale qui se voit perturbée. S’en suit un certain nombre de péripéties avant d’arriver à un dénouement. Un message découle de la situation finale.

Les entreprises utilisent ces schémas dans différents supports pour capter l’attention des consommateurs. Aujourd’hui, la majorité des communications est basée sur ce modèle. Elles s’opposent aux campagnes qui ne font que présenter les caractéristiques de l’offre. 

Quel impact peut avoir le storytelling sur la communication d’entreprise ?

Pourquoi faire du storytelling ?

Si le storytelling a autant la cote auprès des marques, c’est parce qu’il a un impact important sur le résultat des campagnes. En utilisant cette technique ludique, les marques touchent les émotions des consommateurs. Il est alors plus facile de les convaincre et de développer chez eux un attachement à la marque, qui peut conduire à une vraie fidélisation. Le storytelling invite les consommateurs à découvrir les valeurs et l’univers de la marque. Il aide à développer une véritable identité.

Comment fonctionne le storytelling ?

De nombreuses études ont été menées pour prouver les effets de la technique du storytelling et pour les comprendre. Nos pandas les ont épluchées pour vous simplifier la tâche.

Les explications sont scientifiques. Écouter une histoire suscite notre empathie. Le récit provoque la production de deux hormones dans notre cerveau : le cortisol – l’hormone du stress – et l’ocytocine – une des hormones du bonheur. La présence de ces hormones dans notre sang nous pousse à agir de façon plus positive et favorable, et donc, dans le cas de la communication commerciale, souvent à l’achat. Le storytelling, grâce à son attrait et à la cohérence du message envoyé, permet aussi une meilleure mémorisation sur le long terme. De quoi retenir durablement l’attention des consommateurs et le fidéliser. Une étude menée par Adweek montre que la pratique du storytelling augmente également la valeur perçue.

Quelques techniques pour faire un bon storytelling

Les grands principes du storytelling

Même si le storytelling semble plus adapté à des discours ou des vidéos, il est tout à fait possible de l’utiliser dans la création de pages web ou même d’affiches (nos pandas vous ont dégoté un exemple que vous pouvez retrouver plus loin dans cet article). Le tout est de fixer des objectifs – comme dans toute stratégie de communication ! Les marques doivent savoir à qui s’adresser, mais elles doivent aussi définir les émotions qu’elles veulent faire ressentir aux consommateurs, et à quelles actions celles-ci doivent les conduire. En plus du ton employé et du canal choisi, il est important de faire attention au choix des mots. Il est nécessaire d’être compris par tous en utilisant un vocabulaire accessible. L’identification aux personnages du récit est un facteur à ne pas négliger. Choisir une situation qui résonnera chez vos consommateurs est essentiel pour que le storytelling soit efficace. Si vous penchez pour une communication écrite, insérez des illustrations. Elles aident à la compréhension et rendent les pages plus attrayantes !

Les structures narratives pour commencer le storytelling

En littérature, il existe de nombreuses catégories d’intrigues. Certains auteurs en ont identifié jusqu’à une vingtaine ! Les pandas ont choisi de vous parler de la classification de Christopher Booker, auteur et journaliste britannique. Ces types d’intrigues vous permettent de construire votre récit en vous basant sur une structure existante, qui a déjà fait ses preuves auprès du public.

  • Overcoming the monster (vaincre le monstre, pour les non-bilingues) : derrière ce nom plutôt épique se cache tout simplement un récit dans lequel un protagoniste s’oppose à un antagoniste. Vous avez l’embarras du choix pour les exemples, n’importe quel film d’action fera l’affaire.
  • Rags to riches (de la pauvreté à la richesse) : un protagoniste perd la richesse ou le pouvoir fraîchement acquis et apprend une leçon de vie en se reconstruisant. C’est le schéma d’intrigue que suit le film Limitless de Neil Burger.
  • Voyage and return (le voyage aller-retour) : en voyageant, le protagoniste s’enrichit de nombreuses expériences qui font de lui quelqu’un de meilleur à son retour. Le Roi lion, qui a bercé notre enfance, est basé sur ce schéma.
  • Comedy (pas besoin de la traduire celle-là, elle est facile !) : même si le protagoniste traverse bien des péripéties – qui font rire les spectateurs -, la comédie connaît une fin heureuse. Pensez aux films comme Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ou même le classique Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, qui suivent ce modèle.
  • Tragedy (pareil, mais avec un accent français) : ce type de récit connaît une fin malheureuse et inévitable pour le protagoniste. Moins plaisant pour le moral, on peut citer comme exemples Le Secret de Brokeback Mountain ou Gatsby le Magnifique.
  • Rebirth (la renaissance) : le protagoniste doit évoluer et devenir meilleur pour accomplir son objectif. Ici, les films avec des antihéros peuvent être utilisés en tant qu’exemple, comme Deadpool.

Quelques exemples de storytelling

Nos pandas ont rassemblé pour vous quelques exemples de storytelling en communication commerciale, pour vous aider à mieux comprendre son utilisation.

Le storytelling des marques de luxes

Un des exemples de storytelling le plus parlant se trouve être les publicités de parfums. Les marques de luxe créent souvent de vraies histoires dans leurs vidéos de communication. C’est le cas notamment de Lancôme, dans sa publicité avec Julia Roberts pour le parfum La Vie est Belle.

Les affiches d’Innocent

Innocent met aussi en place un storytelling dans sa stratégie de communication. Pour rassurer le consommateur, la marque de jus de fruits et de smoothie à la composition saine mise notamment sur des affiches, qui garde le ton humoristique signature, et qui résonne auprès des consommateurs. Avec ces posters placardés dans le métro, la marque communique autour de la douceur de ses boissons et la fraîcheur de leur composition en les comparant à des compliments qui font du bien.

Steve Jobs, maître du storytelling

Tout le monde connaît la présentation du premier iPhone par Steve Jobs. Encore un bel exemple de storytelling qui résonne chez le consommateur.

Même l’agence AVICOM’ met en place un storytelling avec ses mascottes, les pandas !

Ce qu’il faut retenir du storytelling

Grâce aux codes narratifs, les marques créent des campagnes de communication impactantes. Le storytelling permet d’engager le consommateur émotionnellement. Il est plus facilement attaché à la marque, est aussi plus enclin à passer à l’action.

Si vous ne savez pas par où commencer votre récit, il est souvent utile de s’adresser à une agence de communication. Les spécialistes sont là pour vous conseiller et construire avec vous votre prochaine campagne de storytelling !

Les campagnes marketing d’Halloween : quand les marques et films ne font qu’un

À l’occasion d’Halloween, nos pandas font les clowns ! Et on est loin d’être les seuls…
Ce mois d’octobre marque la sortie de films mettant à l’honneur ces farceurs terrifiants, mais aussi les sourires dantesques qu’on adore détester. 

Le Joker 2, Terrifier 3, Smile 2 et même Beetlejuice Beetlejuice, la saison se déroule en beauté et nos mascottes se mettent en grande pompe. 
L’occasion idéale pour les marques de surfer sur cette tendance pour des campagnes Halloween tant terrifiantes que réussies. 

Alors si vous l’osez, c’est parti ! 🤡

Les meilleures campagnes marketing d’Halloween 

Fanta voyage vers l’au-delà

Pour ce qui est de ses campagnes d’Halloween, la marque Fanta est déjà bien rodée ! Elle est d’ailleurs plutôt bien réputée pour ça. 

Cette année, la marque frappe fort en proposant une collaboration avec Beetlejuice Beetlejuice, dernier film de Tim Burton. 

C’est en plongeant dans ce monde décalé et curieux, propre au film, que Fanta va présenter des packs de boissons en édition limitée. 

On pourra retrouver sur les canettes et bouteilles des personnages du film comme Astrid (Jenna Ortega), Beetlejuice (Michael Keaton) ou Lydia (Winona Ryder). 

Pour parfaire sa campagne marketing d’Halloween, la marque a également proposé un concours interactif directement sur l’application Coca Cola. Les participants pourront flasher un QR code afin de gagner des places pour aller voir le film, des articles exclusifs issus de la collaboration et un voyage à Madrid ! 

© Fanta

Le sourire jusqu’aux oreilles

Pour le coup, ce n’est pas qu’une façon de parler ! Vous vous rappelez des sourires dantesques dont nous parlions ? Il semblerait qu’Heinz les ait mis à l’honneur dans sa campagne Halloween « Heinz Smile ». 

À travers 3 prints terrifiants, la marque met à l’honneur ses plus grands fans et leur amour inconditionnel pour cette sauce. Plus qu’ils ne l’aiment, ils s’y abandonnent complètement. 

Leurs sourires déformés par les traces de ketchup nous rappellent le sourire ensanglanté du Joker. Un excellent coup marketing pour Halloween de la marque qui corrèle avec la sortie du Joker 2, début octobre 2024. 

Et le petit clin d’œil qu’on adore, le slogan de la campagne : « It Ha-Ha-Has to Be Heinz ». Celui-ci détourne le mantra de la marque “It Has to Be Heinz” en le rendant plus… machiavélique. 

Une idée marketing effrayante avec une ambiance amusante et terrifiante qui transforme l’embarras d’avoir de la sauce autour de la bouche en réelle déclaration d’amour au produit. (Vous pouvez aussi vous dire que vous êtes aussi bad-ass que le Joker, et ça c’est cool). 😎

Heinz nous montre chaque année qu’elle sait surfer sur les tendances grâce à des campagnes pleines d’authenticité, d’humour et de goût 🍅

Cette action fait partie des meilleures campagnes créatives de marque pour Halloween ! 

©Heinz

Burger King met de l’huile sur le feu 

Il faut bien avouer qu’on adore quand les marques se lancent des piques… mais dans ce domaine, Burger King et Mcdo sont les meilleurs ennemis 💔

Dans cette nouvelle campagne Halloween Burker King tant comique qu’horrifique, l’enseigne se moque de Mcdo en enfilant son meilleur costume de clown. Car si se déguiser est de rigueur en ce mois de l’horreur, Burker King a fait un très bon choix pour deux raisons. 

La première, pour piquer Mcdo avec le slogan de la campagne : « come as a clown, eat like a king ». La deuxième, parce que le clown fait son grand retour avec la sortie de Terrifier 3. Si nous avons connu une période où ces comiques au grand sourire étaient les personnages les plus plébiscités, on doit reconnaître qu’elle s’était un peu essoufflée. Mais c’était sans compter sur Art, le plus impitoyable des clowns, qui les remet en tendance ! 🤡

D’ailleurs, cette petite guerre entre marques nous rappelle une campagne de Coca-Cola, qui a malicieusement détourné une campagne de Pepsi qui la visait. 

Ennemis de longue date ce n’est pas la première fois que ces deux marques bataillent pour dominer le marché des boissons gazeuses goûts cola. Ici, Pepsi avait établi une campagne print où l’on voit une canette de la marque avec une cape Coca-Cola, sous la baseline : « We wish you a scary Halloween ». C’était sans compte sur la répartie de Coca-Cola qui a détourné la phrase en : « Everybody wants to be a hero ». 

Finalement, cette campagne publicitaire Halloween, c’est l’arroseur arrosé ! 

© Burger King

Retour sur Smile : ces fans ont ri jaune 

Si le sourire est la meilleure arme, c’est l’arme marketing dont s’est équipé Smile ! 

À l’occasion de la sortie du film Smile 2, nous vous proposons un petit retour sur leur coup de communication pour le premier film !

Pour attirer les spectateurs dans les salles, Paramount Pictures a envoyé des acteurs pour s’asseoir dans le public de plusieurs matchs de baseball pour susciter l’intérêt sur le film. Tous étaient immobiles dans les tribunes, arborant un sourire des plus inquiétants. Nous pouvions les voir en tant que public mais aussi derrière certains plans caméra. 

Une promotion de film bien pensée qui a, à coup sûr marqué les spectateurs du match ! Elle aurait d’ailleurs pu être reconduite cette année à plus grande échelle, pour davantage démarquer le film des sorties récentes !  

Les campagnes publicitaires Halloween : une communication terriblement efficace…

Fiouuu… on a eu la chair de poule ! 🫣

Les marques ont encore fait preuve d’une créativité sans limites pour ce marronnier incontournable. D’autant plus que ces campagnes ont toutes été accompagnées ou sublimées par la sortie d’un bon panel de films Halloween 2024 🎃

Allez, joyeux Halloween ! 

Les campagnes Octobre Rose 2024 : plus forts ensemble !

Si l’union fait la force, c’est encore plus le cas du 1er au 31 octobre. Et ça, les marques l’ont bien compris ! La fin du mois approchant, nos pandas ont repéré les plus belles campagnes Octobre rose 2024.Qu’elles soient touchantes ou impactantes, elles sont toutes essentielles pour soutenir la cause ! On regarde ? 

Quel est le but d’Octobre Rose ? 

Bien que nombre d’entre vous connaissent déjà la cause, il est essentiel de rappeler quel est le message d’Octobre Rose. Le mouvement a pour but de sensibiliser les femmes au dépistage du cancer du sein et de collecter des fonds pour soutenir la recherche.

Cependant, chaque action menée pour cette cause doit rester authentique et désintéressée. Une campagne de sensibilisation Octobre Rose ne doit pas servir de prétexte pour promouvoir un produit. Il est important d’éviter toute forme de « pinkwashing », ces pratiques abusives qui exploitent la lutte des femmes pour augmenter les ventes sans réellement contribuer à la cause ni même la soutenir. 

Alors, on retient : le message clé reste le dépistage. Lorsqu’il est effectué suffisamment tôt, le cancer du sein peut être guéri dans plus de 90 % des cas d’après la Haute Autorité de Santé* Pour le 31e anniversaire d’Octobre Rose, les marques ce sont montrées particulièrement engagées avec de beaux messages de solidarité.

Octobre Rose : quelles sont les différentes méthodes de sensibilisation ? 

Les marques jouent un rôle essentiel dans la sensibilisation du grand public à des sujets importants tels que la santé, l’environnement, les droits humains…
Elles vont alors selon leur stratégie déployer divers moyens de communication avec 3 principes récurrents, quel que soit le support. 

Relayer les contenus officiels 

Simple et efficace. Une marque n’est pas forcée d’établir une campagne tous les ans pour s’engager. Mais elle peut profiter de sa visibilité bien souvent nettement supérieure à celle des associations pour relayer les contenus officiels de la cause soutenue. Photos, vidéos, reportages, brochures, c’est d’ailleurs le meilleur moyen pour être sûr de ne pas mésinformer. C’est ce qui peut être le plus recommandé pour les influenceurs qui peuvent user de leur notoriété pour relayer des sujets importants sans tomber dans l’intox. 

Communiquer pour sensibiliser

Le cœur de toute campagne de sensibilisation étant l’information et la prise de conscience, les grandes enseignes peuvent jouer un rôle clé en relayant ces messages via leurs canaux de communication. De quoi donner un coup de pouce à leur audience ! C’est ce qu’a fait Kiabi, en montrant directement les bons gestes d’autopalpation. Grâce à une vidéo diffusée sur Instagram, la marque, en collaboration avec Axalia Kondé, une aide-soignante et mannequin, sensibilise en incitant sa communauté à partager la vidéo pour maximiser sa portée. Un bel exemple pour montrer comment sensibiliser pour Octobre Rose. Ce type d’initiative peut s’adapter à de nombreuses causes et encourager une diffusion massive du message.

©Kiabi via Instagram

Reverser un pourcentage des ventes 

Particulièrement utilisé pour Octobre Rose, c’est aussi un très bon moyen de venir en aide aux associations dédiées à la cause que l’on soutient. 

Soit, elles reversent un pourcentage de leur vente globale, soit elles consacrent un produit ou une collection à la cause pour consacrer les revenus aux dons. Ici, Marionnaud renouvelle pour la 16ème année consécutive son engagement. La marque met en vente 5 produits phares du groupe « The Estée lauder Companies », étant brandés Octobre Rose. Elle reverse un pourcentage des ventes de ces produits à Ruban Rose, association dédiée à l’information et à la recherche contre le cancer du sein. La marque va d’ailleurs encore plus loin en proposant à ses clients de faire don de leur point fidélité à l’association ! Alors si vous vous demandiez comment faire un don à Ruban Rose, pensez-y ! 

Octobre Rose 2024 : les 5 campagnes de sensibilisation

CNP Assurances casse les codes de l’immobilier 

CNP Assurances frappe fort dès le début d’octobre avec sa campagne de sensibilisation « Pas à vendre ». 

En détournant les codes des annonces immobilières, l’entreprise délivre un message percutant : « pas à vendre aux femmes ayant eu un cancer du sein ».

Cette campagne Octobre Rose, signée par The Good Company, met en lumière un problème souvent ignoré. Les femmes ayant traversé cette épreuve font face à des obstacles importants pour accéder à la propriété : délais prolongés, refus de couverture partielle ou totale, et primes d’assurance plus élevées.

CNP introduit ainsi une initiative inédite en matière d’assurance de prêt immobilier. L’entreprise propose désormais aux femmes concernées de souscrire une assurance sans surprime ni réduction de garanties, dès la fin de leur traitement.

En résumé, une campagne à forte visibilité, relayée sur les réseaux sociaux, qui sensibilise efficacement à une réalité méconnue.

© CNP Assurances

Veepee récolte à nouveau des dons au profit d’associations

On l’a dit, « plus forts ensemble ! » ! C’est dans cette dynamique que Veepee et ses marques partenaires se mobilisent pour récolter des dons. Chaque marque participante s’engage à reverser 1€ par commande validée à des associations comme Ruban Rose, en France, Belgique et Allemagne. L’année dernière, cette initiative a permis à Veepee de verser 265 000€ en soutien à la cause. Mais ce n’est pas tout ! La marque a également lancé un jeu de cartes interactif pour apprendre les gestes d’autopalpation. Pour chaque partie gagnée, 1€ supplémentaire est reversé à Ruban Rose : alors foncez ! 

Les fonds collectés contribuent à financer la recherche, les innovations en matière de prévention, de dépistage, de chirurgie réparatrice, ainsi que le soutien psychologique. En bref, une campagne fructueuse depuis plusieurs années, renforcée par un mécanisme ludique et informatif pour multiplier les dons. Un bel exemple d’action Octobre Rose ! 

Pink Pony : la campagne phare de Ralph Lauren

Si Ralph Lauren fait figure de pionnier dans la lutte contre le cancer depuis plus de 20 ans, c’est grâce à son initiative Pink Pony qui soutient la recherche, le dépistage et l’accompagnement des patientes. 

Axée sur le concept de « Vivre mieux et en bonne santé » ou « Live well, be well », la campagne de sensibilisation encourage une vie épanouie à travers le lifestyle de la marque. Elle incite à profiter de l’instant présent tout en aspirant à un lendemain meilleur.

La campagne promeut également une approche proactive de la santé, en mettant un point d’honneur sur les moyens de prévention contre le cancer du sein. 

Pour soutenir cette cause, chaque achat d’un article de la collection Pink Pony permet de reverser 25 à 100 % du prix de vente net à des associations caritatives dédiées à la lutte contre le cancer.

© Ralph Lauren via Instagram

La Ligue contre le cancer appelle à la sororité 

La Ligue contre le cancer, premier financeur non gouvernemental de la recherche en cancérologie, lance une nouvelle campagne print pleine de nostalgie pour soutenir les femmes touchées par le cancer du sein.

Sous le slogan « Prenons soin les unes des autres », cette campagne marketing créative repose sur quatre visuels diffusés en presse et en digital. Chaque visuel met en scène les différentes étapes de la vie d’une femme, entourée des femmes qui comptent pour elle : une mère, une amie, une sœur, une grand-mère… Après avoir puisé de la force auprès de ces figures importantes, il est désormais temps de la leur rendre. 

En douceur, la campagne sensibilise et s’inscrit dans la tendance actuelle de la « girl’s girls », un appel à la sororité qui résonne particulièrement sur les réseaux sociaux. 

© Ligue contre le cancer

France pare-brise : tout n’est pas rose

France Pare-Brise et le Stade Français Paris s’associent avec R2 pour la campagne « Tout n’est pas rose ». Cette initiative vise à dépasser le diagnostic en lui-même en mettant en lumière les nombreux autres défis auxquels sont confrontées les personnes atteintes de cancer.

Tout au long du mois d’octobre, France Pare-Brise remplace son logo sur les maillots d’échauffement, d’entraînement, les chasubles et les sweats par le message « Tout n’est pas rose ». Cette campagne visuellement percutante s’étend sur plusieurs canaux : des panneaux fixes et LED dans le stade, une présence sur les canaux de communication du club, un spot publicitaire, des événements spéciaux pour sensibiliser le public, ainsi que des bannières sur les sites partenaires et des publications sur les réseaux sociaux.

Ce dispositif multi-canal témoigne de l’engagement fort de France Pare-Brise et de sa volonté sincère de sensibiliser à la cause d’Octobre Rose. 

Alors, comment faire une action Octobre Rose ?

Ce qu’il est important de retenir, c’est que l’engagement des marques doit être sincère. 

Que ce soit à travers des campagnes percutantes, ludiques ou plus émouvantes, l’essentiel reste de transmettre un message clair et de contribuer concrètement à la cause. 

L’authenticité et l’implication sur le long terme sont donc primordiales pour maximiser l’impact de ses actions. 

Dans cette lignée, nous ouvrons l’œil sur les campagnes sur la cause du Movember,  mouvement de sensibilisation à la santé masculine ! 

*source : https://www.has-sante.fr/jcms/c_1741602/fr/cancer-du-sein-quel-depistage-selon-vos-facteurs-de-risque-questions-/-reponses

L’histoire d’amour entre la communication et les soldes

Communication et soldes, une vraie histoire d'amour

La période des soldes, c’est l’occasion pour les consommateurs de dénicher des trésors à des prix imbattables. Mais, pour les marques, c’est
une opportunité stratégique où la communication joue un rôle clé dans la maximisation de leur attractivité. Les soldes, bien plus qu’une course aux bonnes affaires, ce sont une véritable stratégie marketing !

À la conquête de l’audience

Les marques ne font pas les choses à moitié quand on parle de soldes. Des annonces colorées, aux remises exceptionnelles en passant par les ventes privées, autant dire que les consommateurs en auront pour leur argent.

Et pour cela, les annonceurs mettent toutes les chances de leur côté avec des stratégies cross-canal. Des spots télé aux ondes radio, des magazines aux plateformes en ligne, chaque canal devient un diffuseur d’offres sensationnelles, de réductions de prix, de promotions…

La communication passe aussi par les réseaux sociaux, le rendez-vous en ligne qui permet de se retrouver, discuter, partager et pour les marques : de vendre. 

Tout ça avec un compte à rebours, parce que toutes les bonnes choses ont une fin. Un procédé qui permet également aux marques de raréfier leur produit et de le rendre encore plus attractif. C’est rare et c’est moins cher, alors c’est le moment d’acheter !

Quels canaux de communication pour les soldes ?

L’emailing, droit au but 

Le mail, c’est la voie royale pour les annonceurs.  Des offres exclusives, parfois même personnalisées qui sont directement envoyées chez le consommateur. Pas, ou en tout cas peu, de doutes sur la réception de l’offre, mais quid de la lecture du mail ?

C’est un des gros dilemmes des newsletters et de l’emailing en général, le taux d’ouverture et la lecture du support. Des indicateurs qui sont parfois peu performants, notamment sur des envois de masse. 

Pour y remédier, la personnalisation du mail, l’accroche ou même le design de celui-ci peuvent être des leviers intéressants pour augmenter votre taux d’ouverture. N’oubliez pas le fameux « call-to-action », le bouton indispensable pour pousser votre cible à l’action. 

Bon au-delà, des potentiels inconvénients du mail, ce canal permet aux marques de donner un sentiment de confiance et d’appartenance au consommateur. L’exemple des codes pomos personnalisés en sont la preuve. Désormais, chaque e-mailing est une porte d’entrée vers une expérience d’achat.

On vous le redit, mais les courriers électroniques sont parfaits pour transmettre un message personnalisé aux consommateurs. Dans la même idée que les publicités ciblées, les offres proposées s’adaptent aux besoins et envies de l’utilisateur en fonction de ses dernières recherches et visites sur internet. Données récoltées préalablement par les marques sur leur différents canaux et qui sont réutilisées dans un entonnoir de conversion spécialement conçue pour la période des soldes.

Les réseaux sociaux : un point de contact supplémentaire avec la cible

Les réseaux sociaux n’y échappent pas ! Les soldes inondent nos médias sociaux que ce soit en publication organique ou sponsorisée. 

Chaque publication est une invitation à ne pas passer à côté de LA réduction de l’année. L’objectif est simple : informer sur la promotion, répéter le message jusqu’à la conversion finale, l’achat. 

De nombreux et différents points de contact avec la communauté qui permettent aussi aux annonceurs d’affiner leur ciblage pour plus de résultats. Chaque réseau, sa cible et chaque public son objectif. Conversion, trafic, retargeting toutes les fonctionnalités des médias sociaux sont sollicités pendant cette période des soldes. 

Là encore, la conversion et la vente sont recherchées, mais la fidélité entre également en jeu…

L’événementiel pour une expérience client unique

Certaines marques vont encore plus loin en organisant leur propre soirée VIP avec des ventes privées et des événements exclusifs (plus des petits fours). 

Oui, des soldes pas comme les autres qui se retrouvent principalement dans le domaine du luxe, de la cosmétique ou même de l’aménagement haut de gamme. Ces moments intimes créent une connexion spéciale avec la clientèle. La marque propose l’exclusivité aux consommateurs leur donnant accès à un « club privé ».

Le simple consommateur devient un invité d’honneur et de choix de la marque (des invités de marque même), une stratégie coûteuse, mais qui permet de tisser des liens uniques avec sa cible. De l’élégante invitation jusqu’à l’arrivée dans un lieu privilégié, avec la présence d’égérie ou de célébrités, chaque détail est conçu pour faire passer un moment exceptionnel au client. 

Bien plus qu’un simple évènement qui permet de vendre des produits, cette stratégie événementielle permet de fidéliser le client sur le long terme et de l’élever au rang d’ambassadeur de la marque. 

Les marques qui se démarquent

Le luxe, un domaine à part entière

Les stratégies de communication varient selon le domaine d’activité, l’objectif, les valeurs et les cibles de l’entreprise, jusque-là pas de grandes nouveautés, mais le luxe est un secteur à part entière. 

Un domaine qui utilise des stratégies marketing qui se distinguent des marques « grand public ». 

À l’occasion des soldes, les marques de luxe ne font pas des rabais sur leurs articles (à notre grand désespoir). À l’inverse, elles communiquent davantage toute l’année sur des ventes privées ou des évènements exclusifs diffusés à une clientèle sélectionnée. 

Rien n’est laissé au hasard, les marques récompensent surtout des VIP, des clients fidèles ou des personnes inscrites sur des listes exclusives de la marque.

Des entreprises comme Dior ou Chanel créent donc une atmosphère d’exclusivité qui leur permettent de renforcer leur positionnement haut de gamme et le sentiment d’appartenance à un cercle très prisé des consommateurs. 

Les marques « grand public » misent sur le mass market

À l’inverse, les marques dites « grand public » se concentrent plus sur l’accessibilité de leur produit, avec des stratégies se concentrant sur des appels de prix plus fous les uns des autres. 

Une communication orientée sur des promotions et qui permet de toucher et d’attirer un large public. Pour cette période de soldes, les entreprises avec des cibles mass market se concentrent sur le rapport qualité-prix de leurs produits dans leur stratégie. 

En plus de cet axe de communication, ces marques utilisent des canaux de diffusion plus larges tels que les médias sociaux ou encore la télévision afin de toucher une audience plus large. 

L’esthétisme des soldes ?

Le rouge, le jaune, les caractères en gros (très gros), des têtes de gondole chargées, posts réseaux sociaux ou même affiche, en période de braderie tout est permis. Du moins c’est ce que l’on retrouve chez les marques grand public. 

On est loin de la belle campagne publicitaire esthétique avec une direction artistique recherchée, qui fait passer un message subtil à son public.

Ces nuances de rouge et jaune qui clignotent comme des feux de signalisation sont plutôt audacieuses, mais pourquoi ce choix ?

L’objectif n’est pas de faire du beau, mais de capter l’attention de la cible avec des couleurs vives et du texte en gras.

Les couleurs rouge et jaune sont des maîtres de l’urgence et de l’excitation. Le rouge évoque le dynamisme et l’engagement qui est en plus symbolisé par le call to action). Le jaune apporte une touche d’énergie et d’optimisme, bon, c’est surtout que le contraste avec le rouge, vous rapidement tape dans l’œil.

Ensemble, elles forment un feu d’artifice qui annonce une fête, une invitation à la célébration des bonnes affaires.

Ces choix graphiques sont aussi une technique psychologique. Les couleurs vives stimulent l’excitation qui crée une ambiance propice aux achats impulsifs. Cette esthétique vise à éveiller un sentiment d’opportunité limitée, incitant le consommateur à agir rapidement avant que la promotion ne disparaisse.

L’esthétisme des soldes n’est pas fait pour durer, mais pour impacter à un instant T. 

En revanche, on remarque que ces codes graphiques se retrouvent principalement dans les visuels des marques grand public et ne s’appliquent pas pour le haut de gamme. 

Par exemple, Nike qui collabore avec des marques de luxe tel que Dior ou Louis Vuitton adopte un design sobre dans ces communications. Des couleurs à la charte de l’entreprise, avec le blanc et le noir qui remplacent le mythique rouge et jaune des soldes.

Les mots utilisés par certaines marques montrent une volonté de se différencier de l’image grand public. Nike et Samsung ne mentionnent pas les termes « soldes d’hiver » comme Puma ou Huawei, mais « offre d’hiver ». 

Au final, les tendances graphiques des soldes ne sont pas qu’une question de design. C’est une véritable stratégie visuelle et rédactionnelle qui s’adapte à l’image de la marque. Les annonceurs jouent sur les émotions et l’urgence d’achat pour créer un impact immédiat. À l’inverse, les marques « haut de gamme » gardent une cohérence et une harmonie avec leur identité visuelle contrastant avec les soldes grand public. 

Les visuels qui attirent l'oeil pour les soldes

Pas de soldes chez eux

Tout le monde, ne brade pas ses prix à l’approche de la période des soldes, que ce soit Apple, Gucci ou Back Market. 

Un phénomène de moins en moins rare qui s’explique par des motivations variées, allant de la préservation de l’image de marque à l’engagement éthique.

Le plus gros vendeur de smartphone de 2023 a fait le choix stratégique depuis ses débuts de ne pas participer aux soldes. Son image repose sur la qualité, la durabilité et l’avant-gardisme. Apple créé alors un sentiment d’exclusivité, positionnant ses produits dans le haut de gamme comme des investissements à long terme plutôt que des biens de consommation éphémères.

Dans le monde du luxe, la stratégie est similaire, les marques préservent leur image d’exclusivité et de haut de gamme en ne faisait pas de réduction.

La qualité des produits, le renouvellement et l’innovation, qu’elles proposent, les obligent à mettre un point d’honneur sur l’exigence de leur satisfaction client. C’est en tout cas l’explication de Louis Vuitton sur l’absence de soldes ou de promotion.

Les marques haut de gamme, entretiennent la rareté de leurs produits et renforcent leur statut prestigieux. Elles mettent l’accent sur leur qualité plutôt que sur des prix avantageux. Il est vrai que si du prêt-à-porter Yves-Saint-Laurent serait accessible à toutes et tous, son image de marque luxe en prendrait un coup, non ?

Les soldes, c’est aussi la surconsommation, des prix avantageux qui poussent à acheter sans même répondre à un besoin. C’est pourquoi l’aspect éthique rentre en jeu aussi pour certaines marques.

Thomas Huriez, fondateur de 1083, créateur de vêtement Made in France et écoresponsables préfère vendre « au juste prix » toute l’année pour lutter contre la fast-fashion.

C’est aussi le cas de Jennifer Maumont, la co-fondatrice de Jules & Jenn, qui parle de garder conscience de « la valeur des produits » et du coût de production avec le paiement convenable de la main d’œuvre, les matières premières…

L’aspect écologique est une des raisons pour certaines marques de ne pas pratiquer à la tradition des soldes.

Pour finir, Back Market mise sur des prix réduits toute l’année. 

D’ailleurs, la campagne affiche fièrement ses convictions via sa campagne lors du Black Friday. Pas besoin d’un vendredi noir pour avoir des promotions chez le leader du reconditionné, les produits étant déjà largement en dessous du marché !

Sensibiliser sans culpabiliser

Sensibiliser sans culpabiliser

Les initiatives pour prévenir des dangers plutôt que de les guérir se multiplient. Mais la ligne qui sépare la sensibilisation de la culpabilisation est très fine. Il faut être sacrément bon équilibriste (un peu comme des pandas dans les arbres).

Le Dry January, les campagnes de la sécurité routières, la prévention sur les dangers de la consommation de drogue… ces communications ne sont effectivement pas comme les autres.

Alors, comment éveiller les consciences sans engendrer un sentiment de blâme ?

Un renouveau dans la prévention publicitaire

On vous emmène pour un petit saut dans le temps ! 

Quelques années en arrière, les campagnes publicitaires de prévention mettaient en avant des scènes violentes (sang, accident…). L’objectif de ces campagnes était simple : interpeller la cible des dangers d’une pratique (excès de vitesse, alcool, drogue…). 

Bon, côté direction artistique, on est loin de ce qu’on peut voir actuellement sur nos écrans.

La mise en scène des différents spots s’orientait davantage vers des images sombres, une voix off grave, une musique triste et des images chocs, parfois même les quatre à la fois. Des prises de position artistiques fortes qui se mettaient au service du message principal : la prévention.

Un type de publicité bien particulier qui est, en majorité, utilisé par des annonceurs institutionnels. On pense au Gouvernement et à la Sécurité routière, qui visent à sensibiliser et d’éduquer une audience large et à gagner rapidement en visibilité.

Et oui, le choc est une des solutions pour toucher votre public, rester en mémoire et augmenter la mentalisation du message.

Dans le meilleur des cas, le visuel est si impactant, parfois même malaisant, que le message publicitaire est automatiquement retenu par le public cible. Faire une bonne pub, ce n’est pas forcément faire quelque chose de beau et d’esthétique, mais quelque chose qui sera retenu par ses cibles.

Du nouveau dans la publicité

Au cours des dernières années, les campagnes préventives en France ont subi une transformation marquante. Loin des tactiques cherchant à choquer le public pour susciter une réaction, les stratégies actuelles s’orientent vers une approche plus positive et engageante.

Cette transformation reflète aussi un changement d’époque et des besoins des consommateurs. Ce renouveau des méthodes publicitaires plus traditionnelles s’inscrit donc dans la volonté des annonceurs d’atteindre leur public de manière plus efficace.

Ce renouveau s’explique également par les conjonctures actuelles. Crise écologique, guerres et inflation, pas la peine d’en rajouter d’une couche avec des publicités qui vous plombent le moral. 

D’ailleurs, le média STRATÉGIES vous l’explique plutôt bien avec son article « L’humour de retour dans la pub française »

Oui, l’humour est de retour et on est carrément pour ! 
AHAHAHAH.

Prévenir avec un œil positif 

Les campagnes de préventions mettent de côté l’aspect moralisateur, créant un sentiment de culpabilité chez le public, et se tournent désormais vers l’humour, la positivité et la mise en avant des bénéfices, notamment pour un changement de pratique.

Et oui, pour faire une publicité réussie, plusieurs leviers s’offrent à vous !

Le Dry January en est l’exemple parfait.

La campagne de santé publique célèbre la sobriété plutôt que de stigmatiser la consommation d’alcool. 

Pour rappel, le Dry January, ou « janvier sobre », « mois sans alcool », est une campagne de santé publique incitant à l’abstinence de consommation d’alcool tout le mois de janvier.

Cette campagne de communication met l’accent sur les avantages de l’abstinence de consommation d’alcool. Ici, l’annonceur diffuse un message positif avec du contenu éducatif, incitatif et engageant, sans oublier un ton assez familier renforçant la proximité avec la communauté.

D’ailleurs, sur les réseaux sociaux de l’organisation @dryjanuaryfr, vous verrez davantage de publications orientées sur l’humour avec l’utilisation de memes ou des interviews avec des spécialistes renforçant la crédibilité de cette campagne. Aujourd’hui, Dry January rime avec amélioration de la santé mentale, regain d’énergie et redécouverte de soi !

La pub version 2024, ça ressemble à quoi ?

Pour vous faire un rapide bilan, faire de la publicité, c’est d’abord être un grand optimiste.

Les annonces publicitaires les plus récentes s’axent d’autant plus sur les aspects positifs d’un changement de pratique ou d’un bon comportement, plutôt que sur les conséquences d’une mauvaise conduite. 

Ce type de campagne de publicité permet d’interpeller votre audience sans la faire culpabiliser. Une approche plus constructive et authentique qui crée une expérience positive pour la cible. 

Le public ne se sent pas contraint de changer ses pratiques, mais plutôt encouragé d’essayer une nouvelle alternative proposée par l’annonceur.

Et c’est là tout le paradoxe avec cette stratégie publicitaire : le public cible est bien plus enclin à respecter ces préventions parce qu’il a l’impression d’avoir le choix d’effectuer une bonne action.

Le changement en image

Les campagnes préventives ont évolué avec les années dans leur manière de transmettre les messages publicitaires. Prenons l’exemple des campagnes sur le port de la ceinture en voiture. 

Attachez-vous (c’est le cas de le dire) dans ce saut dans le temps !

Une communication d’un autre temps

Retour sur un spot de 2007, l’année du premier iPhone et de la première tournée mondiale des Daft Punk (p’tit coup de vieux, non ?).

Une publicité qui met en scène une situation de la vie quotidienne, en voiture, avec des amis tous joyeux pendant leur trajet. Une situation vécue par tous, à laquelle on s’identifie forcément.

Vous le sentez venir, le drame, le geste qui peut bouleverser le cours d’une vie ?

Une personne non attachée, un accident et le drame est là.

Si la situation semble déjà marquante, le créatif est allé encore plus loin en reconstituant visuellement l’horreur de la scène.

La personne est projetée contre le pare-brise et la publicité nous rend témoin d’un choc violent et réel. La victime ensanglantée est une image marquante qui reste en mémoire, tout comme l’expression des personnages secondaires terrifiés par l’accident.

Un spot publicitaire fort, qui peut heurter la sensibilité du public, mais qui trouve son efficacité dans l’impact psychologique provoqué dans la vidéo. 

Ce spot marque également un point de rupture dans l’espace publicitaire avec ses couleurs ternes et son scénario catastrophe qui se différencie des belles images et des scènes joyeuses habituelles.

Comme le scénario, la campagne publicitaire nous percute, elle crée de la peur pour que le message puisse être mémorisé par la cible : attachez votre ceinture.

Et aujourd’hui ? 

De retour en 2023, déjà l’iPhone 15, les Daft Punk n’existe plus et les campagnes préventives ont bien changé.

Sur le même thème préventif, mais avec un processus opposé, les campagnes de communication changent de stratégie. 

Cette fois, le message clé n’est pas traité par la conséquence, celle de ne pas s’attacher, mais plutôt par la récompense : un geste simple pour rester vivant.

Le Gouvernement et la Sécurité routière s’engagent toujours en faveur du port de la ceinture de sécurité, mais cette fois-ci version happy ending.

Une publicité plus ludique, colorée, où les rires et sourires remplacement l’horreur, une diversité représentée avec un ton bien plus léger, la campagne « Avec la ceinture, attachons-nous à rester vivants » regroupe tous les codes des tendances publicitaires de ces derniers mois.

Une campagne bien loin des violentes images de 2007, mais qui réussit quand même à capter notre attention en reprenant la chanson des Bee Gees : Stayin’ Alive. Une chanson toute trouvée par rapport au thème de la campagne marketing et qui prend également sens dans le renouveau de la chanson grâce à la plateforme TikTok. Stayin’ Alive en devient même le slogan de la campagne.

Avec le rythme entrainant de la chanson, les acteurs du spot nous plongent dans un monde coloré avec une chorégraphie tout droit sortie des années 70, traduisant le geste de la ceinture.

Quand on connait les tendances actuelles et le mimétisme des publics cibles avec les danses Disney, TikTok ou même de la Star Academy, cela va sans dire que cette campagne va rester dans un coin de leurs têtes.

Aujourd’hui l’objectif n’est plus de choquer, mais d’interpeler, de capter l’attention et de rester en mémoire de manière originale.

Entre 2007 et 2023, les années se suivent, mais ne se ressemblent pas. 

Les enfants ont grandi, les adultes ont vieilli, les mœurs ont changé et la communication a évolué ! 

Aujourd’hui, pour sensibiliser, la solution n’est plus de choquer ou de culpabiliser, mais d’engager le public de façon créative et divertissante.

Quand le jeu vidéo s’invite dans le marketing.

Les jeux vidéo se sont largement installés dans notre quotidien et de manière plus générale dans notre société. Le marketing l’a bien compris et tente désormais une nouvelle approche auprès des audiences, celle de la gamification.

La gamification et la communication, la nouvelle paire inséparable

La gamification désigne le fait d’introduire certains mécanismes de jeu ou de procédés ludiques et interactifs dans des processus d’apprentissage, de management ou de marketing.

Actuellement, les publicitaires sont dans une recherche de communication plus ludique, qui fait passer des messages inconsciemment au public. Les annonceurs misent alors sur les expériences positives et marquantes, bien plus efficaces en matière de mémorisation et de conversion.

La notion de jeu, de mission à accomplir permettent de satisfaire un désir personnel. Donner des récompenses à l’utilisateur selon ses pratiques lui procurera de la joie. Cette approche de sensibilisation permet de ne plus faire culpabiliser le public sur des sujets importants, mais de l’informer de manière plus divertissante.

L’équation est simple : vous jouez, participez au projet, vous retenez le message et mieux encore, vous partagez le message autour de vous. En exploitant les mécanismes de jeu, les annonceurs génèrent un fort sentiment d’implication, renforçant ainsi la notoriété de la marque.

Une relation gagnant-gagnant entre l’annonceur et sa cible.

Le digital, l’allié parfait de la gamification.

La gamification dans le marketing a émergé comme une stratégie novatrice pour captiver et engager le public et le numérique n’y est pas pour rien.

En fusionnant les principes du jeu avec les campagnes digitales, les entreprises peuvent désormais créer des expériences interactives qui stimulent l’engagement des consommateurs. Cette nouvelle approche transforme la manière dont la publicité est perçue, s’adaptant aux habitudes de consommation de la population, mais aussi en transformant les consommateurs passifs en participants actifs. 

La gamification, associé au digital, offrent de nouvelles possibilités aux marques et aux publicitaires. Jeux concours, récompenses ou encore défis sont au cœur des stratégies digitales. 

Les campagnes digitales et l’utilisation de la gamification permettent également de collecter des données pertinentes sur le comportement des utilisateurs, fournissant aux marques des informations précieuses pour affiner leurs stratégies et ciblage. 

Sortez du train-train quotidien avec la gamification

La SNCF a, cette fin d’année, réitérée l’utilisation de la gamification avec sa « Retrainspective 2023 ». Un petit résumé de nos trajets en train de manière décalée et amusante.

En 2022, cette initiative avait fait beaucoup réagir sur les réseaux sociaux. Les avis disparates des internautes se divisaient entre ceux qui saluaient la sensibilisation sur l’empreinte carbone et ceux qui s’amusaient de ne pas voir afficher le nombre de grèves, trains retardés, annulés ou la hausse des prix.

Bon, même si on peut critiquer la SNCF, cette initiative plutôt bien pensée vient s’inscrire dans une volonté de sensibiliser le public de manière divertissante. 

Cette année, le ton décalé de l’entreprise ferroviaire a permis de séduire davantage ses utilisateurs. Une communication légère et personnalisée qui permet d’interpeller la cible et d’être relayée sur les réseaux sociaux.

Tendances et actualités pour 2024

Tendances marketing 2024

Nouvelle année, nouvelles tendances, nouvelles nouvelles (ça en fait des nouvelles). 
Les nouveautés 2024 du monde de la communication font leur apparition ! Du graphisme au web en passant par les réseaux sociaux, attachez vos ceintures pour faire le tour de la com’ de 2023 et les prédictions pour 2024.

Les nouvelles tendances graphisme de l’année 2024

Et si on parlait des nouveautés côté graphique ?

Entre la couleur de l’année dévoilée par Pantone, l’IA qui fait son bonhomme de chemin et des nouvelles images de marques, le marché du graphisme et du design s’annonce passionnant pour 2024 ?

La couleur de l’année 2024

Vous n’êtes sûrement pas passé à côté, le nuancier le plus connu du monde, Pantone, a annoncé « Peach Fuzz » comme la couleur de 2024. 

Pour le spécialiste mondial de la couleur, elle traduit « notre désir de prendre soin de soi et des autres. C’est une couleur pêche, douce et veloutée dont l’esprit enveloppant enrichit le corps, l’âme et l’esprit. » 

On espère qu’elle vous plait, parce que cette année, que ce soit dans la communication ou la mode, vous allez forcément la rencontrer. D’ailleurs, on hésite presque à repeindre un mur de la bambouseraie en Peach Fuzz…

L’IA impacte les outils créatifs

2024 n’échappe pas à la règle, l’IA sera un des éléments technologiques incontournables de l’année. Dans nos vies personnelles, nos métiers, mais aussi et surtout dans le graphisme, l’intelligence artificielle s’intègre dans notre quotidien.

L’IA s’invite chez Adobe. Cette fois c’est fait, l’IA de Photoshop, Firefly, sort de sa Beta et intègre officiellement le logiciel en 2024.

Adobe Firefly, l’outil de remplissage génératif fait ses preuves sur Photoshop.

Le nouvel outil d’Abobe permet aux créateurs, du débutant au plus expérimenté, de générer et transformer des images à partir de prompt à destination de plusieurs modèles d’intelligence artificielle. L’IA de l’outil ne s’arrête pas là puisque Firefly sera, à termes, intégrée à Illustrator et d’autres applications de la suite Adobe comme Adobe Express. 

Via cette nouveauté, l’objectif d’Adobe est clair : faciliter le travail des graphistes tout en leur apportant des fonctionnalités plus rapides et plus performantes. À cette intelligence artificielle, s’ajoute donc une importante base de contenus images, audios, illustrations, vidéos ou contenus 3D, mais également de nouveaux pinceaux 

Bref, avec Firefly, Adobe permet au monde du graphisme de concevoir un univers visuel riche et (presque) sans limite…

Et si la technique du collage revenait à la mode ?

Un procédé assez récent et qui s’est essayé à plusieurs mouvements artistiques : futurisme, surréalisme, dadaïsme, pop art…

Vous l’avez déjà sûrement pratiqué, ciseaux, papier et colle à la main, un passé lointain (fort lointain…)

Pour parler un peu technique et sortir des salles de maternelle, le collage permet de donner du dynamisme à une création visuelle. Avec un aspect fait main, presque artisanal, cette technique est relativement appréciée par les marques et les consommateurs ces derniers mois. 

L’authenticité et la proximité avec les communautés recherchées dans les communications sont plutôt bien représentés à travers cette tendance graphique et s’intègrent désormais dans les images de marque.  

Un mouvement qui aspire à être utilisé sur de nombreux supports en 2024 comme les affichages print, les contenus vidéo ou même les écrans publicitaires numériques…

Cette tendance graphique n’est pas la seule à être à la mode pour 2024…

Les styles à la mode

Le surréalisme est de retour avec des motifs fantastiques et des combinaisons atypiques qui s’inspirent du mouvement artistique du XXe siècle.

Les formes organiques prennent de plus en plus de place dans les designs, mais l’année 2024 sera peut-être l’année de son essor.

Avec la hausse de la gamification, la pixellisation prend de la place aussi !

La nostalgie du design des jeux vidéo 8 bits comme Pacman, Super Mario Bros 1885, Tetris… se retrouve dans les designs et s’adapte à tous les supports, que ce soit print ou digital.

L’heure des rebrandings pour les marques ?

À l’image de Deezer qui a rafraîchi sa charte graphique fin 2023, les marques recherchent un changement générationnel. Une identité plus moderne avec des polices arrondies, des couleurs vives et fluorescentes. 

Deezer s’affirme avec une identité forte et osée. 

L’utilisation du bold dans la typographie le confirme. Celle du violet également, n’est pas un hasard. La couleur de l’inclusivité, une teinte lumineuse qui peut rappeler celle des néons, mais aussi et surtout celle de la pop d’après le média Nylon. Le cœur comme icône fait écho à son point commun avec la musique, à savoir le rythme. Le rythme de la musique avec ses vibrations et le rythme cardiaque ! 

Deezer fait vibrer son cœur, mais aussi les réseaux sociaux. 

Une nouvelle identité qui n’a pas laissé indifférent, jusqu’à être un des sujets en TT de X. Un véritable revirement de bord pour la plateforme française qui s’adresse dorénavant à une cible plus jeune et qui espère, avec cette identité visuelle, créer une communauté à son image. Un nouveau design qui s’adapte bien mieux à une communication digitale et qui permet à la marque de revoir sa stratégie de communication globale.

Depuis 2007, le logo avait subi quelques évolutions, mais pas aussi importante. 

Bon, le changement de la part de Deezer, a été plus ou moins bien accueilli par cette communauté justement puisque certains internautes pensaient à un troll. Un petit bad buzz pour démarrer, ce n’est pas le plus agréable, mais pour la visibilité et la notoriété, ça reste efficace.  

Dans un style pop art, art déco et pubs des années 80 (en version 2.0), les entreprises risquent de renouveler leur charte pour se donner une nouvelle image, plus moderne ! 

Le renouveau des réseaux sociaux 

Le social media s’enrichit pour 2024, nouveautés, changements, bouleversements… toute l’actu est là !  

Threads, le X de Meta. 

C’est la grande nouveauté pour 2024, la nouvelle application de Meta est sortie le 14 décembre 2023 en Europe et pourrait devenir le nouveau terrain de jeu des marques. 

Le nouveau réseau social de Meta s’attaque au format de X : une plateforme ultra-interactive, plutôt destinée aux contenus chauds et qui base son algorithme sur l’engagement. Sur le papier (enfin, sur le clavier), rien de nouveau par rapport au réseau d’Elon, si ce n’est un effet de mode qui agite les internautes, une ambiance plus chaleureuse et une bienveillance qui se font rare chez X.

L’IA est bel et bien là.

On vous l’a déjà présenté pour le graphisme, mais l’IA est encore plus développée du côté des médias sociaux.

Si 2023 était l’année de sa démocratisation avec Chat GPT et MidJourney, 2024 est l’année de la banalisation de l’utilisation de l’intelligence artificielle dans le quotidien des community managers. 

Le développement des IA notamment pour la suggestion d’axe stratégique et la génération de contenu, amène à une standardisation et automatisation de ces pratiques. Sympa pour les Social Media Managers…

Des intelligences artificielles comme Chat GPT permettent d’intégrer des contenus spécifiques d’une entreprise qui sont traités et analysés pour créer de nouveaux documents, images ou vidéos. Pour aller même encore plus loin, les IA sont dorénavant intégrées dans les plateformes et outils digitaux comme Canva ou même Notion.

Le retour du format long ? 

Le format court et vertical initié par les Réels Instagram, les Shorts Youtube ou les classiques TikTok ne vont pas disparaitre et restent des formats tendances et performants. 

En revanche, les plateformes comme Instagram ou TikTok incitent ses créateurs à la création de format plus long en allongeant la durée des Réels pour Instagram et en rémunérant plus cher les vidéos de plus d’une minute pour Tiktok. 

Si le format long permet à une marque d’opter pour une démarche spécialisée et plonger en immersion sa communauté, c’est aussi un moyen pour les plateformes de garder l’utilisateur le plus longtemps possible sur leurs systèmes.

De nouveaux outils pour fédérer ? 

Sur les réseaux sociaux, pour performer et être correctement référencé, l’engagement et l’interaction avec sa communauté sont les clés de la réussite. Cette année, comme depuis quelque temps, les algorithmes se transforment pour mettre en avant les profils et comptes qui interagissent le plus.

Pour mettre en pratique ces changements, le groupe Meta a développé plusieurs fonctionnalités afin d’augmenter les échanges et interactions entre créateurs de contenu, marques et communauté.

Canaux de diffusion, channels sur WhatsApp et même l’arrivée de Threads, tout est mis en œuvre pour que les internautes interagissent entre eux.

Des dispositifs qui étaient encore une découverte en 2023, mais qui pourront devenir de vrais incontournables en 2024.

Adieu les hashtags ? 

Que ce soit Elon Musk (propriétaire de X) qui les nomme comme les « reliques du passé » ou Meta qui expérimente sur le Threads australien un système sans #, les hashtags semblent disparaître à petit feu. 

Alors pour le référencement, le SMO (Social Media Optimization) ne se limitera plus aux hashtags, mais devra être l’objet d’une vraie stratégie. Recherche de mots clés, l’amélioration des descriptions, optimisation des profils et des légendes… la fin des hashtags marque un vrai renouveau dans le référencement naturel.

Viser plus petit pour avoir plus grand ?

Les marques et les influenceurs, une grande histoire d’amour qui dure depuis déjà quelques années. D’ailleurs, on vous en a déjà un peu parlé dans notre article “Les stars et les marques, un combo dangereux ?”

Bon, sans surprise, 2024 ne sera pas une exception dans ce type de collaborations. Néanmoins, une tendance se dessine depuis quelques années, celle des micro-influenceurs. Cette année, ce mouvement s’affirme avec des influenceurs plus proches de leur communauté et avec une confiance plus accrue. Les marques multiplient donc petit à petit les petites influences aux dépens des grosses campagnes.

Du nouveau pour le Web ?

Les nouvelles technologiques occupent une place centrale dans l’évolution du paysage web, et 2024 sera peut-être l’année de leur développement à grande échelle. 

En particulier, l’intégration de l’intelligence artificielle, de la big data et de la réalité augmentée promettent une optimisation significative de l’expérience client. Ces technologies permettent de personnaliser les interactions en ligne, anticipant les besoins des utilisateurs et offrant des expériences plus riches et engageantes.

Cependant, cette nouvelle ère numérique souligne également l’importance cruciale de la sécurité des données. Les entreprises devront redoubler d’efforts pour garantir la protection des informations sensibles des consommateurs. Cela implique la mise en place de mesures de sécurité robustes, la sensibilisation des employés et la mise en œuvre de protocoles de gestion des données conformes aux normes en vigueur. 

En plaçant la sécurité au premier plan, les entreprises peuvent instaurer la confiance des consommateurs, renforçant ainsi leur réputation et assurant une relation durable avec leur clientèle dans ce paysage numérique en constante évolution.

Les applications les plus téléchargées de l’année

Qui dit nouvelle année, dit bilan des tops et des flops ! Côté web, on a choisi de vous parler des tops avec les applications les plus populaires de l’année 2023.

Chat GPT est entré au mois de novembre dans le top 10, oui oui, on ne vous le dira jamais assez, mais l’IA est bel et bien là ! 

Bon pas de bol, c’est Threads qui la remplace au mois de décembre en prenant la 10ème place du classement. S’il y a bien des apps qui ne risquent pas de sortir du top 10, ce sont les indétrônables TikTok, Instagram et Facebook qui restent en tête du classement (les réseaux, toujours les réseaux sociaux…).

Les pandas disent bye bye aux lumières du métro lyonnais

Nouveauté locale, mais tout autant importante : l’agglomération de Lyon décide de mettre fin aux écrans publicitaires numériques des stations de métro.

Effectif à partir d’avril 2024, les 118 panneaux publicitaires numériques des stations de métro seront retirés du paysage lyonnais. Une mesure écologique qui vise à créer un espace plus agréable et moins intrusif. 

Bon, pour les pandas, mais aussi pour l’ensemble des annonceurs de la région, ce sont des espaces digitaux en moins, mais pas de panique, une partie sera remplacée par des affichages print moins volumineux. 

Des changements validés par les pandas pour une bambouseraie un peu plus préservée chaque jour, et ça on adore !

Aller, c’est le moment pour nous de drop the mic’ !

Avec tout ça, si vous n’êtes pas prêts pour 2024, on ne comprend plus rien.