Règlementations, restrictions et interdictions : où en est-on dans le monde de la publicité ?

Quelles sont les réglementations et les restrictions de la publicité

Avez-vous déjà vu du whisky à la télévision ou une publicité pour des Marlboro au cinéma ? Celui qui répondra oui, aura le nez qui s’allonge ! 

De nombreux produits ou domaines ne peuvent pas communiquer sur certains supports et médias, sous peine de sanctions pénales. Pas de panique, pour savoir si vous risquez quoi que ce soit, nos pandas vous expliquent les interdictions à connaître en termes de communication !

Quelles sont les interdictions générales en termes de publicité ? 

Avant de commencer, il faut savoir que le cadre juridique définit des réglementations publicitaires concernant les messages et les moyens de communication, mais aussi les droits d’auteurs et le respect de la vie privée.

Interdiction de la publicité mensongère 

La publicité mensongère est tout simplement celle qui délivre délibérément, une ou plusieurs informations fausses. Que ce soit une information concernant les qualités ou caractéristiques d’un produit, d’un service, les engagements du vendeur, les bienfaits d’un produit…

Interdiction de la publicité trompeuse

La publicité trompeuse diffère de la publicité mensongère. Là où la publicité mensongère vient ouvertement divulguer de fausses informations, la publicité trompeuse, elle, vient induire en erreur le consommateur sur une fausse interprétation et donc une fausse information. Parfois ce ne sont que de simples formulations ou représentations qui laissent penser à une information, une qualité produit, un service, qui n’est pas aligné à la réalité.

Interdiction de dénigrement et comparaison

Il est interdit qu’une publicité vienne dénigrer un produit, service ou même une marque concurrente. C’est comme si nos pandas disaient publiquement que les poils des ours polaires étaient tout rugueux… C’est pas cool…

Parfois, une marque peut faire une publicité comparative avec des biens et services d’une entreprise concurrente, de manière implicite ou explicite. Elle n’a pas le droit de le faire de façon à dénigrer le concurrent, elle doit être objective et loyale. 

affichage publicitaire en gare - marque Vichy - AVICOM'

Quelles sont les interdictions en termes d’affichage publicitaire ?

L’affichage print et digital

Selon les lois instaurées par le gouvernement, de nombreux endroits ne sont pas adaptés à l’affichage et sont donc interdits et inexploitables. 

Tous les équipements extérieurs de la ville, les plantations, etc, sont prohibés. Parmi ces derniers, on peut citer : 

  • Les arbres et les plantations 
  • Les poteaux de transports et de distribution électrique, poteaux de télécommunication, installations d’éclairage public
  • Les équipements publics qui concernent la circulation routière, ferroviaire, fluviale, maritime ou aérienne
  • Les clôtures qui ne sont pas aveugles, les murs de cimetière et de jardin public
  • Les murs des bâtiments 

De plus, les monuments, les bâtiments classés ainsi que les zones protégées sont également interdits pour la publicité d’extérieur. Voici la liste des bâtiments et zones à éviter : 

La publicité au sol 

La publicité au sol, souvent constituée de marquage à la peinture ou à l’aérosol, est plutôt peu utilisée comparée à ses compères. Pourtant, elle reste tout de même règlementée. En effet, étant parfois polluante et dégradante, elle est interdite : 

  • Dans les agglomérations de moins de 10 000 habitants ne faisant pas partie d’une unité urbaine commune ou ensemble de communes.
  • Dans les espaces boisés classés par un plan local d’urbanisme
  • Dans les zones à protéger en raison de la qualité des sites et de leur intérêt esthétique ou écologique.

Pour en savoir plus sur les interdictions en termes d’affichage publicitaire, c’est juste ici !

publicité murale - street marketing - Califia almond milk

Quelles sont les interdictions pour la publicité télévisée ? 

Attention, même si votre marque vend des produits autorisés à être communiqués à la télévision, votre spot TV devra obligatoirement passer entre les mains de l’ARPP. L’Organisme de Régulation Professionnelle de la Publicité a pour rôle de créé des règles d’éthique, de vérifier et contrôler leur application. 

Des produits interdits depuis des décennies 

Les publicités à la télévision sont généralement assez diversifiées. On passe d’une publicité pour la toute dernière voiture familiale de Citroën, à la nouvelle gamme de pâtes Lustucru, en passant par les super couches absorbantes Pampers. Mais certains produits n’apparaissent pas dans le paysage audiovisuel, et parfois on se dit, tant mieux. 

Produits pour nourrissons

Plutôt soft, mais les produits pour nourrissons sont également interdits à la diffusion. Ce sont spécifiquement les préparations destinées aux nourrissons de 0 à 4 mois, donc les laits 1ᵉʳ âge, qui sont réglementairement interdits. Pourquoi ? Tout simplement pour ne pas décourager l’allaitement maternel, dont les bienfaits ne seront jamais complètement substitués par le lait en poudre. 

Pour en savoir plus, ça se passe ici !

Tabac et alcool : la loi Evin 

Avez-vous déjà vu une bouteille d’alcool ou un paquet de cigarette passer dans une publicité juste avant le JT de 20h ? Pas sûr… 

Et oui, la publicité TV d’alcool ou de tabac est tout simplement interdite et encadrée par la loi Evin, dont nos pandas vous parleront juste après !

Assouplissements et nouvelles règlementations                                                       

Le monde de l’audiovisuel bouge, et les lois évoluent au fil des années. Avant, les publicités TV pour le cinéma et l’édition étaient formellement interdites.  Depuis peu, elles sont autorisées. 

Pourquoi les publicités pour le cinéma et l’édition littéraire étaient interdites ? 

Les publicités concernant le cinéma à la télévision ont toujours été interdites jusqu’en 2020. C’était avant tout une mesure protectionniste de l’industrie du cinéma français et européen. D’abord, car le budget dédié à la promotion des films français est très faible comparé à celui des films américains. Mais c’était également pour protéger les films indépendants des gros blockbusters, aux plus grands budgets et renommée. 

En ce qui concerne la publicité sur l’édition littéraire, son interdiction relève avant tout de la volonté de ne pas favoriser les grands groupes, qui y auraient plus facilement accès par rapport aux petites maisons d’éditions indépendantes. 

Quelles sont les nouvelles règlementations ? 

Le 5 août 2020, un décret avait été lancé pour autoriser la publicité du cinéma à la télévision. Une expérimentation avait été acceptée pour 18 mois, qui a été prolongée par la suite. Et c’est récemment, le 6 avril 2024, qu’est paru un décret qui pérennise officiellement la publicité pour le cinéma à la télévision et met en place une période d’essai de 2 ans pour les livres. Par la même occasion, le Journal Officiel a publié le bilan d’une enquête et la publicité pour le cinéma à la télé a permis « un effet positif sur la fréquentation en salles, particulièrement en province ». 

Télévision affichant un film avec un meuble télé bas blanc. décoration naturelle et épurée.

Quels sont les domaines comprenant le plus de restriction en termes de communication ?

L’alcool et le tabac : la loi Evin

Découvrez l’article du grouvernement.

Qu’est-ce que la loi Evin ?

Loi vieille de 33 ans, la loi Evin encadre la communication autour de l’alcool et du tabac. Attention, si vous ne respectez pas cette loi, vous risquez une amende pouvant atteindre jusqu’à 75 000€ ou 50% du montant des dépenses consacrées à l’opération illégale. Mais vous pouvez également écoper de peines supplémentaires comme la cessation de publicité, l’interdiction de la vente de votre produit…

Quels sont les supports autorisés ? 

Les supports autorisés sont multiples, mais le message doit rester informatif et ne doit pas inciter à la consommation. Il est important de noter que pour chacun des supports, des spécificités sont parfois à respecter selon le produit. Parmi les supports autorisés pour la publicité de l’alcool et du tabac, on compte : 

  • La presse
  • L’affichage 
  • Internet et les applications 
  • Fêtes et foires traditionnelles
  • Radio
  • Réseaux sociaux
  • Brochures 
  • Véhicules de livraisons 
  • Mécénat sans publicité indirecte 

Sont interdits : 

  • Le parrainage/sponsoring sportif, 
  • La publicité télévisée, 
  • La publicité au cinéma,
  • Les pop-up ou bannières réseaux sociaux.

affichage digital - Piccadilly Circus - Londres

Les médicaments et les produits pharmaceutiques 

Quel est le rôle de l’ANSM ?

L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM) contrôle toutes les communications médicamenteuses avant publication, qu’elles soient soumises à des prescriptions médicales ou non. C’est un peu l’Arcom des médicaments.  

Le rôle de l’ANSM est de réguler la communication des médicaments pour que le message promotionnel reste objectif et mette en avant le bon usage de ces derniers, sans pousser à une mauvaise utilisation ou de mauvaises habitudes de prescription. 

L’ANSM se base sur trois critères décisionnels : 

  • Le respect des dispositions de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) et des stratégies thérapeutiques recommandées par la Haute Autorité de santé (HAS) 
  • Un message promotionnel objectif sur le médicament, qui induit le bon usage de ce dernier
  • Le message et les visuels ne doivent pas être trompeurs, ni porter atteinte à la protection de la santé publique

Que peut-on communiquer dans le milieu médical et pharmaceutique ? 

La publicité pour les médicaments et produits pharmaceutiques est très règlementée

Il est interdit de communiquer sur des médicaments soumis à une prescription médicale. Ceux qui ne sont pas sous ordonnance peuvent être communiqués mais doivent, bien évidemment, passer entre les mains de l’ANSM pour validation avant publication. 

Il existe deux sortes de communication dans le milieu pharmaceutique : la communication envers les professionnels de la santé, et une envers le grand public. Chacune des deux comporte ses propres obligations et règles.

Communication envers les Professionnels de la Santé 

En France, la législation interdit la promotion publique des médicaments remboursables par la Sécurité Sociale et/ou ceux répertoriés comme substances vénéneuses.  Seul le corps médical, incluant les médecins, pharmaciens, chirurgiens-dentistes et sage-femmes, sont informés de ces derniers. 

Publicité envers le grand public 

Il est interdit de communiquer sur des médicaments soumis à une prescription médicale. Ceux qui ne sont pas sous ordonnance peuvent être communiqués sous toutes les formes mais doivent, bien évidemment, passer entre les mains de l’ANSM pour validation avant publication. 

La communication des avocats 

Les avocats peuvent communiquer et faire de la publicité par voie de tracts, affiches, films, radio ou télévision, site Internet, répondre à des interviews. Les sollicitations personnalisées par voie postale ou électronique sont également autorisées. Cependant, ils doivent obligatoirement mentionner certains éléments dans chacune de leurs communications et respecter des interdits.

Les mentions obligatoires 

Les avocats sont soumis à des mentions obligatoires. Ils doivent préciser dans leur communication :

  • La qualité d’avocat et s’identifier (Me Dupont, Cabinet Omega)
  • Mentionner le barreau
  • Sa localisation et les moyens de le joindre
  • Préciser sa structure d’exercice
  • Préciser son appartenance à un réseau si tel est le cas
  • Dans votre nom de domaine de site web, si vous êtes indépendant, votre nom doit être précédé ou suivi du mot « avocat ». 
  • Si vous exercez au sein d’une structure d’exercice, le nom de domaine doit comporter le nom de l’avocat ou la dénomination du cabinet, suivi ou précédé du mot « avocat »

Les interdits

Dans sa communication, un avocat n’a en aucun cas le droit de :

  • Poser avec sa robe
  • Employer les termes de « spécialité », « spécialisation » ou encore « spécialisé »
  • Citer ses clients, même s’ils donnent leur accord
  • De démarcher par SMS ou téléphone 

panneau publicitaire de la marque Apple avec une photo d'un chien tirant la langue en noir et blanc - AVICOM'

Que faut-il retenir ? 

Tout secteur d’activité a besoin de communiquer, que ce soit dans un but de notoriété, d’information ou de vente. Néanmoins, chaque secteur a ses propres obligations et interdictions en termes de publicité. Il faut donc bien faire attention à bien se renseigner sur les possibilités de communication dans votre milieu d’expertise. Si vous n’êtes pas assez minutieux sur cette partie, vous pouvez mettre légalement en tort votre entreprise. 

La solution la plus simple est de faire appel à une agence de communication, experte dans le milieu de la publicité et des législations la régissant. Elle sera la plus à même de vous aider à atteindre vos objectifs efficacement, sans aucuns risques légaux, ni juridiques ! 

Les 5 actualités de la communication de ce printemps

Les actualités de la communication

La communication et le marketing sont des domaines qui évoluent à une vitesse éclaire ! Avec de nombreuses nouveautés et innovations toutes plus originales les unes que les autres chaque semaine. On vous l’accorde, c’est parfois, dur de tout suivre, et ça peut prendre la tête. Mais, puisque nos pandas sont incroyablement prévenants, on vous a concocté un résumé des 5 actus les plus intéressantes de ce printemps !

Entre un nouveau réseau de la communication du divertissement, des publicités vidéo drôles et loufoques, ou encore des innovations dans la communication de grands groupes, vous n’êtes pas au bout de vos surprises !

Un réseau de la communication du divertissement et du lifestyle en Europe

Le réseau PR:E

Sept agences européennes de communication dans le divertissement, le lifestyle et la culture se sont rassemblées pour créer un réseau expert dans leurs domaines respectifs. C’est mi-avril que PR:E (Public Relations Europe) est né. 

Parmi ces agences, on retrouve Cartel (France), DawBell (Royaume-Uni), Kruger Media (Allemagne), PR Nordic (pays Nordiques), ABCommunication (Benelux), Goigest (Italie), Blanchòn (Espagne)

création du réseau de la communication Européen PR:E par les agences : Cartel, DawBell, Kruger Media, PR Nordic, ABCommunication, Goigest et Blanchòn
Crédit : PR:E

Quels sont les avantages pour les clients ? 

Les clients peuvent bénéficier de l’expertise de ces sept agences implantées dans l’Europe entière. Un ancrage stratégique qui permet une meilleure connaissance des marchés des différents pays et des législations européennes. 

Le réseau permet d’aider des clients de secteurs très variés comme le marketing, le divertissement, la mode, le gaming, le cinéma, le voyage…

Ces agences ont des portefeuilles clients très développés, et ont déjà respectivement pu mener des campagnes de relations presses, relations publiques et de marketing d’influence avec de grands noms. Cartel, la grande agence française a par exemple pu mettre en place une action de marketing d’influence pour le film Barbie avec les deux influenceurs français Léna Situation et Seb la Frite. L’agence Nordique PR Nordique a, elle, mené une campagne de relation presse et influenceurs pour la promotion de la sortie de la série Netflix Arcane. 

PR:E est donc dès le départ un réseau de confiance avec une forte force de frappe, en regroupant beaucoup d’expériences et de grands clients.

L’avantage pour les agences 

Les sept agences peuvent, grâce à cette coopération, bénéficier de plus de visibilité et de notoriété. Elles peuvent toucher une nouvelle catégorie de clients et s’étendent à l’échelle européenne. 

Chacune ayant son expertise, elles peuvent donc viser des clients ayant besoin de leur expertise ainsi que de celle d’une des agences collaboratrices. 

Sept agences, ça veut dire sept fois plus de créativité. Les résultats n’en sortiront que plus grandioses. 

Le Club Med sort une playlist de podcasts 

Depuis l’arrivée du digital et le développement des nouveaux médias, les marques ont compris qu’il fallait capitaliser sur de nouveaux formats pour se renouveler, rester dans l’ère du temps, et toucher le plus de monde possible. 

Écran de télévision affichant le logo Spotify

Des podcasts, en veux-tu, en voilà !

Pour cela, Club Med a décidé de se tourner vers les podcasts… Mais pas du côté du créateur. C’est dans les Alpes, au Club Med La Rosière, que sept créateurs de podcast ont été invités à passer un séjour au ski pour créer des épisodes divers et variés. Des contenus utilisés et diffusés à l’occasion du concept du Podcast Club, la nouvelle playlist du Club Med. Leur but était de créer des épisodes en rapport avec leur propre secteur de podcast, et en même temps en lien avec le monde du ski et du sport. Certains ont notamment pu échanger avec des sportifs professionnels. 

Durant ce weekend ont pu être créés des formats de podcasts touchant à des domaines variés : 

  • Bliss : épisode sur le sport, de la santé mentale et de la maternité 
  • Beau Voyage : épisodes sur des conseils, bons plans et adresses incontournables de voyage
  • À poêle : épisode sur la cuisine 
  • Etraterriens : épisode sur le sport 
  • Décodeur : épisode sur le design et la seconde main
  • Jazz The Two of Us : discussion avec Josselin Bordat, auteur, scénariste et Musicien
  • Génération Do It Yourself : épisode sur le développement professionnel et personnel, mais aussi sur la technologie 

Pour écouter tous ces contenus, ça se passe ici !

Une belle image pour le Club Med

Mais alors pourquoi le Club Med a décidé de se lancer dans la branche du podcast ? Et bien pour plusieurs raisons. Premièrement, cela permet de toucher une cible plus jeune, adepte de la Slow life. Ce mode de vie, ultra-tendance chez la nouvelle génération, vise à ralentir son mode de vie et profiter des moments. Chose que le Club Med vend et permet grâce à ses séjours de détente en famille, en couple ou seul, dans n’importe quel pays.

De plus, en invitant sept créateurs différents, le Club Med peut toucher sept audiences et donc décupler son public cible. Cela permet donc un gain de notoriété énorme, ainsi qu’une image plus moderne et dans l’ère du temps. 

Scanner sa commande, c’est maintenant possible chez Burger King !

Burger King innove dans l’industrie du fast-food

Burger King propose un nouveau service, le « King Table ». Contrairement à ce que vous montre la publicité vidéo qui en fait la promotion, pas besoin de parler directement face contre table. Vous pourrez désormais scanner les QR codes présents sur le coin des tables. 

Une innovation dans l’industrie des fast-food qui n’avaient encore jamais utilisé ce mode de service. 

Un spot TV rempli d’humour 

Comme à son habitude, Burger King, aidé de la célèbre agence Buzzman, a su annoncer cette nouveauté avec beaucoup d’humour à travers une publicité TV diffusée en mi-avil. 

Dans ce spot publicitaire, on peut y voir des clients commander directement en parlant à la table. On vous l’accorde, une situation absurde, mais qui nous fait bien rire. Et c’est bien là tout l’objectif.

À la fin de la publicité, on nous annonce bien évidemment que non, les tables ne sont pas encore interactives, mais en attendant, on peut bel et bien scanner des QR codes pour commander et ne pas se faire voler la place à la table en restant à la borne. 

Une campagne humoristique, à l’image de la marque et qui fait mouche comme à son habitude. 

Evian nous en met pleins les yeux !

Si la marque à habitude de ravir nos papilles, Evian à cette fois décidé de nous éblouir de son génie avec sa nouvelle campagne de communication. 

Mountain of Youth

Evian nous en met pleins les yeux avec une nouvelle campagne réalisée par BETC Paris. Pour toujours être en accord avec son slogan Live Young, la marque s’axe cette fois non sur les bébés, mais sur la fontaine de jouvence. 

À travers un spot publicitaire vidéo ainsi qu’une campagne d’affichage, la marque nous immerge dans un univers glacé et une histoire pleine de joie et de féérie. 

Une histoire complètement givrée

Sur la chanson « Joy » de Pharrell Williams, on suit un randonneur qui tente de se guider à travers les montagnes enneigées et qui recherche la source de la Mountain of Youth .

Mais il n’est en fait pas seul. Lorsqu’il a le dos tourné, on peut voir des éléments naturels tels que des stalactites, des rochers neigeux, des sapins blancs… devenir de mystérieux personnages. En fait, ce sont des elfes qui se camouflent derrières ce décor. 

Ces elfes vivent une vie de jeunesse éternelle, en s’amusant constamment. Ils font des batailles de boules de neiges, se déguisent en Yeti, ou font des plongeons dans les sources de la Mountain of Youth. Petit clin d’œil à son ancienne campagne, lorsque les elfes mettent la tête sous l’eau, ils reprennent un physique de bébé. 

Des affiches aussi décalées qu’esthétiques

Une campagne d’affichage a également été mise en place. Sur les affiches, on retrouve des personnes de tout âge faisant des activités dans la neige. On peut voir un couple de personnes âgées en bouées sauter dans des trous creuser dans la glace. Mais aussi une femme faire du yoga sur un bonhomme de neige ou une mère et sa fille marcher dans la neige avec des bottes en forme de pattes d’animaux. 

Surprenant et amusantes, les affiches de la campagne attirent l’œil. 

KFC s’associent à Mister V et sa marque Delamama

Burger King n’est pas le seul fast-food à avoir de très bonnes idées en termes de marketing. La preuve avec les nouveaux burgers de KFC, qui a fait une collaboration avec Mister V, célèbre youtubeur français. Après avoir sorti sa propre marque de pizza « Delamama », l’influenceur développe aujourd’hui 3 burgers en édition limitée chez la chaîne KFC. 

Crédit : KFC France

Une publicité aussi fêlée que Kevino Delamama

Connu pour son humour, le youtubeur Mister V, annonce le retour du chef italien Kevino Delamama. Le personnage, totalement décalé et hilarant, se met de nouveau en scène pour la nouvelle offre KFC. 

À travers deux spots publicitaire de 20s, réalisés par les agences Havas Paris et Havas Media, on voit Kevino Delamama préparer les burgers Delamama d’une manière plutôt atypique. Dans le premier, il lance les ingrédients dans un pot à poulet KFC et réussit à créer miraculeusement un délicieux burger. Dans le deuxième, il manque de cogner ses coéquipiers avec une pelle à pizza sur laquelle se trouve le burger Delamama. 

Une stratégie d’image pour KFC 

Puisque KFC bénéficie déjà d’une grande notoriété, on peut donc se demander quel est le but derrière cette collaboration avec le Youtubeur.

Et bien l’objectif est tout simplement de toucher les 18-34 ans, public cible de Mister V sur les réseaux sociaux. Une stratégie marketing qui va bien au-delà d’une simple collaboration, mais qui vise surtout à créer le buzz et un phénomène d’engouement massif auprès du public cible. Une campagne d’influence voir même de co-branding renforcée par la désirabilité du produit vendu en édition limitée.

Avec cette opération, KFC souhaite développer un ton plus léger et décalé. À l’instar de Burger King. Collaborer avec Kevino Delamama était donc l’occasion idéale pour atteindre cet objectif. 

Le co-branding : un allié précieux pour votre visibilité de marque !

Le co-branding, un atout précieux pour les marques et leur communication

Connaissez-vous le jeu de société « Explore la bambouseraie » ? Non ? Et bien, c’est normal, il n’existe pas. Mais il aurait pu, notre agence digitale lyonnaise AVICOM’ avait fait un co-branding avec Hasbro Gaming ! (On ne vous le dit pas, mais on en rêverait…).

Comment et pourquoi le co-branding peut aider votre marque à exploser en notoriété ? Nos pandas vous l’expliquent juste après !

Qu’est-ce que le co-branding ? 

Définition du co-branding 

Le co-branding, c’est tout simplement la collaboration de deux marques, qui créent un produit, un service ou réalisent une action commune. Dans quel but ? Promouvoir chacune leur marque à travers la notoriété de l’autre. C’est un échange de service qui finalement arrange tout le monde. 

Mais attention, même si l’idée paraît simple, sa réflexion et son exécution sont pourtant bien compliquées et minutieuses. Parfois, on peut être à deux-doigts du Bad buzz si on ne choisit pas la bonne marque à laquelle s’allier. 

Boutique Louis Vuitton allumé dans la nuit. Définition du co-branding - AVICOM'

Quels sont les deux types de co-branding ? 

Le co-branding fonctionnel (ou d’ingrédient)

Le co-branding fonctionnel s’effectue entre deux marques ayant un niveau de notoriété bien distinct. Prenez une marque très connue, et une moins connue, mais au grand savoir-faire, vous obtiendrez un beau mélange pour une collaboration réussie. 

Le but est donc de créer un produit commun, qui bénéficiera de la notoriété de l’un et de l’expertise délivrée par l’autre. La marque connue pourra proposer à ses clients un produit de meilleure qualité, via de nouveaux réseaux de distribution… La marque moins connue, elle, bénéficiera de la notoriété et de l’image de son allié.  

Le co-branding symbolique 

Le co-branding symbolique s’effectue entre deux marques à la notoriété similaire. Le but est de prendre deux marques aux tons différents et images différentes. Ici, elles viennent s’associer lors d’une campagne marketing pour renforcer leur image de marque, modifier leur positionnement ou encore profiter de l’influence et la communauté de l’autre. Elles viennent toucher à un nouveau marché et apportent un nouveau produit à leur client. 

Pourquoi faire du co-branding ? 

Un gain de notoriété 

En choisissant une marque ayant une bonne notoriété et en développant un nouveau une opération de co-branding avec elle, vous pourrez gagner en visibilité et donc atteindre une cible différente de la vôtre. 

L’acquisition clients

Vous aurez probablement de nombreux prospects qui pourront découvrir votre marque et s’intéresser à vos produits. Des gens n’ayant jamais considéré acheter chez vous vont commencer à changer d’avis. 

Travailler son image de marque 

Lorsque vous effectuez une opération de co-branding avec une marque partenaire dont l’image est très forte et positive, vous gagnez en capital sympathie. 

Redynamiser sa marque

Parfois, quand on est une marque historique et fortement implantée dans son marché ou même leader, on ne se réinvente pas, on tombe dans une routine et ça lasse nos consommateurs… C’est pourquoi le co-branding est une solution idéale pour faire revivre votre marque, rajeunir ou moderniser son image et vous permettre de surprendre vos consommateurs. 

MacBook Air posé sur un bureau. Dos de l'ordinateur avec des stickers colorés de marque et de références à la pop culture.
Co-branding AVICOM'

Comment réussir son co-branding ? 

C’est bien beau de vouloir faire un partenariat avec une marque, mais laquelle ? Et oui, le plus difficile est de trouver une marque qui vous permettra un co-branding réussi, un buzz (positif) assuré et des nouveaux clients de qualité. Pour être sûr de trouver la marque parfaite avec qui s’associer, voici nos panda tips. 

Le mot d’ordre : complémentarité

Si vous voulez de nouveaux clients, vous n’allez pas chercher une marque partenaire similaire à la vôtre. Il faut aller creuser sur les autres marchés, ceux qui peuvent être complémentaires au vôtre. Quels produits pourraient être pertinents en tant que collaboration avec les vôtres ? Quel service pourrait être complémentaire à vos services ? 

Des valeurs partagées

Il vous faut bien évidemment chercher une marque qui va dans la même direction que vous. Avoir des valeurs similaires entre les deux marques partenaires permettra un co-branding cohérent aux yeux du public et beaucoup plus impactant. Bah oui, on ne va pas associer nos bambous hyper écologiques à une grande marque de fast fashion. 

Étude de votre potentiel partenaire 

Ce qui est le plus dangereux lorsque vous vous lancez dans un co-branding, c’est le bad buzz. Et oui, vous pouvez très vite tomber dans une polémique, dont il est toujours compliqué de ressortir. Étudiez la marque avec laquelle vous souhaitez potentiellement vous allier. Regardez son passé, ses anciennes communications, potentielles polémiques sur ses produits ou services… On n’est jamais trop prudent. 

Une offre sensationnelle 

Un but : déclencher la réaction « Wow, ils sont trop forts ». Pour que votre co-branding fonctionne, il faut surprendre vos deux publics avec un produit, un service ou une action auxquels ils n’auraient pas pensé. Mais plus que ça, il faut qu’il leur paraisse indispensable ou tellement spécial qu’ils doivent se le procurer à tout prix. Vous devez donc créer une stratégie autour d’une offre logique, mais atypique. Ça ne devrait pas être trop compliqué si vous avez trouvé LA bonne marque avec qui collaborer. 

Étudier vos marchés

De sorte à confectionner le meilleur co-branding possible, vous devez connaître précisément chacun des deux marchés des marques. Quels sont vos produits les plus achetés par votre public ces derniers mois ? Quelles sont vos typologies de consommateurs ? Quels autres types de produits sont-ils enclins à acheter ? … Beaucoup de questions à se poser, pour un co-branding réussi par la suite !

Trouver des avantages tant pour l’un que pour l’autre

Bien qu’une marque puisse avoir plus de notoriété que l’autre, il faut tout de même qu’elle trouve son compte dans votre co-branding. Vous devez mettre en place une stratégie marketing et de communication qui puisse être efficace et qui bénéficie aux deux marques. Elle doit exprimer vos valeurs et l’image que chacune de vous deux souhaite véhiculer. 

Trois exemples de co-branding réussis

Red Bull x GoPro

Bon, on ne vous présente plus la marque de boissons énergisantes Red Bull, et ses nombreuses sponsorisations d’événement sportifs à sensations fortes. D’un autre côté, GoPro, les fameuses caméras mobiles qui vous permettent de filmer tous vos exploits sportifs facilement. La collaboration parfaite de deux marques tournant autour des sports extrêmes. Ici, ce n’est pas un produit, mais bien une opération, une action de co-branding que les marques ont réalisé.

En 2012, le monde entier a pu observer le Red Bull Stratos project avec le célèbre parachutiste autrichien Felix Baumgartner. Lors de cet événement, Felix Baumgartner, habillé d’une combinaison spatiale sponsorisée par Red Bull et filmé sous tous les angles par des caméras GoPro, a effectué le plus haut saut en chute libre de l’histoire, dépassant le mur du son. Pas mal non ? 

Cela a permis aux deux marques de bénéficier d’une immense visibilité sur les réseaux sociaux, atteignant des nombres de vues astronomiques.

Mercedes x Swatch 

Mercedes-Benz, célèbre marque automobile allemande, s’est alliée à Swatch, la marque de montres suisses. Qu’ont pu créer ces deux marques complétement différentes ? Et bien tout simplement une voiture. Plus précisément la Smart. Et oui, si vous ne le saviez pas, les lettres SMART sont les initiales de Swatch Mercedes Art Car. 

Le but de ce co-branding était de créer une voiture citadine dotée de quelques technicités propres au secteur de l’horlogerie. La smart revêt donc des couleurs vives semblables à ce que propose Swatch et contient moins de plastique. 

Cette voiture permet de diversifier l’offre de Mercedes qui tend vers un modèle plus coloré et fun, tandis que Swatch entre sur un nouveau marché, celui de l’automobile. 

BMW x Louis Vuitton

En 2014, la célèbre marque automobile BMW lançait la BMW i8. Moment rêvé pour faire un partenariat avec une marque de luxe tout aussi grande, non ? L’heureuse élue a été Louis Vuitton. La marque de mode de luxe, à la base connue pour ces bagages et sacs aux symboles bien particuliers, a décidé de les mettre à l’honneur dans ce co-branding. Une ligne de bagages aux dimensions précises de la nouvelle BMW i8 a donc été commercialisée.

Bien que les deux marques n’aient pas forcément besoin d’un gain de notoriété, et qu’elles aient un public similaire, attiré par le luxe et aux moyens importants, elles doivent tout de même continuer à cultiver cette image du luxe. Ici, le co-branding BMW x Louis Vuitton a permis de montrer aux consommateurs des deux marques, qu’elles sont capables d’innover et de déborder de créativité. 

Crédit : Grégoire Alexandre / Louis Vuitton

Que faut-il retenir du co-branding ?

En bref, vous devez choisir une marque partenaire qui vous permettra d’atteindre l’objectif marketing souhaité. Que ce soit pour gagner en notoriété, pour atteindre un nouveau marché ou améliorer votre image de marque, vous devez trouver LA marque parfaite à laquelle s’associer. Étudiez la bien en amont pour être sûr qu’aucune polémique ne pourra se former, à cause d’un ancien bad buzz ou d’une opposition de valeurs entre vous deux. Il vous faudra confectionner l’offre de service ou produit co-brandé rêvée pour surprendre les consommateurs et arriver à mener votre stratégie de communication à merveille ! 

Facebook, Instagram, LinkedIn et autres : quels sont les formats adaptés aux réseaux sociaux ?

Les formats pour poster sur les réseaux sociaux

Vous êtes Community manager, graphiste ou maniez régulièrement les réseaux sociaux ? Alors, vous vous êtes obligatoirement posé la question : quel format et dimensions dois-je utiliser ?

Nos pandas, entre deux dégustations de bambous, vous partagent toutes les tailles d’images recommandées sur les réseaux sociaux. Instagram, Facebook, LinkedIn et autres n’auront plus de secrets pour vous !

Social media : Pinterest, Instagram, YouTube ou encore X, les différentes dimensions des réseaux sociaux

Pourquoi les formats varient-ils en fonction des réseaux sociaux ?

Vous l’aurez remarqué, chaque réseau social a une interface différente et bien spécifique. Des tailles d’images diverses sont donc nécessaires de sorte à s’y adapter. Que ce soit les photos Instagram, Facebook, LinkedIn ou les vidéos YouTube, chaque réseau social vous contraint d’utiliser des dimensions de visuels bien précises, de sorte à fluidifier l’expérience utilisateur. Elle sera plus cohérente, esthétique et même rapide puisque cela permet de réduire le temps de chargement !

De plus, pour assurer une présentation optimale, vous devrez pour un même réseau social, utiliser les dimensions propres à chacun de ses emplacements. En effet, vous ne pourrez pas utiliser les mêmes tailles d’image pour votre photo de profil que pour le contenu des publications du fil d’actualité ou que les bannières de couverture. 

La résolution de vos photos est également très importante et peut varier selon les emplacements. Certains peuvent nécessiter une haute résolution de sorte à garantir une qualité visuelle maximale comme les images de couverture, tandis que d’autres n’auront pas besoin d’autant de précision.

Vous l’aurez compris, s’adapter aux différents formats d’image et vidéo recommandés sur les réseaux sociaux permet de répondre aux spécificités de chaque emplacement et fonctionnalité, et de permettre une meilleure qualité et cohérence visuelle ainsi qu’une meilleure expérience utilisateur. 

Pourquoi faut-il respecter les tailles d’images sur les réseaux sociaux ?

Optimiser la visibilité du feed  

Si vous adaptez vos formats d’image et vidéo aux emplacements de chaque réseau social, vous augmentez vos chances d’interactions avec vos followers.

Ne pas perdre en temps et en impact

Si vous ne respectez pas la taille de l’emplacement choisi, votre image va sûrement devoir être coupée ou zoomée, ce qui vous pousse à revoir le visuel, et donc à perdre du temps. De plus, une photo coupée peut altérer le message que veut retranscrire votre visuel. Résultat, une perte de temps et une publication avec moins d’impact.

Compatibilité sur tous les appareils 

N’oubliez pas que les réseaux sociaux sont utilisés sur différents appareils (smartphones, tablettes, ordinateurs…). Utiliser la bonne taille d’image permettra à votre contenu d’être correctement affiché sur l’ensemble des plateformes, et donc vous garantit une meilleure visibilité.

Plaire à l’algorithme

Lorsque vos images respectent la bonne taille, votre publication, vidéo ou votre contenu aura plus de chance d’être mise en avant.

Liste des différentes dimensions d’images sur les réseaux sociaux.

Instagram

●         Post Format carré : 1080 x 1080 pixels ou 1200 x 1200 pixels

●         Post Format vertical : 1080 x 1350 pixels

●         Stories & Réel : 1080 x 1920 pixels

●         Photo de profil : 320 x 320 pixels

●         Bulle story à la une : 161 x 161 pixels

●         Visuels ads

○          Paysage : 1080×566 px

○          Carré : 1080×1080 px

○          Verticale : 1080 x 1920 px

Guide : dimensions et formats des visuels du réseau social Instagram

Facebook

●         Post Format carré : 1080 x 1080 pixels ou 1200 x 1200 pixels

●         Post Format vertical : 1080 x 1350 pixels

●         Post Format horizontal : 1200 x 630 pixels

●         Post avec image événement : 1920 x 1005 pixels

●         Stories & Réel : 1080 x 1920 pixels

●         Photo de profil : 720 x 720 pixels

●         Photo de couverture : 820 x 312 pixels

●         Facebook marketplace : 1200 x 1200 pixels

●         Facebook Instant : 1200 x 1200 pixels

●         Visuels ads

○          Paysage : 1080×566 px

○          Carré : 1080×1080 px

○          Verticale : 1080 x 1920 px

Meta met souvent à jour la taille pour les contenus réseaux sociaux. Vous pouvez les retrouver juste ici.

Guide : dimensions et formats des visuels du réseau social Facebook

LinkedIn 

●         Photo de profil : 400 x 400 pixels

●         Logo de la page : 268 x 268 pixels

●         Bannière profil personnel : 1584 × 396 pixels

●         Bannière profil professionnel : 1128 × 191 pixels

●         Post Format carré : 1200 x 1200 pixels

●         Post Format vertical : 1080 x 1350 pixels

●         Post blog avec un lien : 1200 x 627 pixels

●         Vidéo : 256 x 144 px à 4096 x 2304 px

●         Publicités vidéos ads

○          Paysage : 640 x 360 px à 1920 x 1080 px

○          Carré : 360 x 360 px à 1920 x 1920 px

○          Verticale : 360 x 640 px à 1080 x 1920 px

●         Newsletter

○          Logo : 300 × 300 pixels

○          Photo de couverture : 744 × 400 pixels

Retrouvez un récapitulatif des dimensions LinkedIn.

Guide : dimensions et formats des visuels du réseau social LinkedIn

YouTube

●         YouTube miniature : 1280 x 720 pixels

●         Photo de profil : 800 x 800 pixels

●         Bannière profil : 2560 x 1440 pixels

●         Visuels ads

○          Bannière : 300 × 60 px

○          Overlay : 480×60 px

○          Display : 300 x 250 px

Pour vous aider, YouTube a créé une page dédiée à ses différents formats vidéo.

Guide : dimensions et formats des visuels du réseau social YouTube

Pinterest

●         Post Format carré : 1000 x 1000 pixels

●         Épingle Format vertical : 1000 x 1500 pixels

●         Story : 1080 x 1920 pixels

●         Display : 222 x 150 pixels

●         Photo de profil : 180 x 180 pixels

Guide : dimensions et formats des visuels du réseau social Pinterest

 

TikTok

●         Photo de profil : 100 x 100 pixels

●         Post : 1080 x 1920 pixels

●         Visuels ads

○         Paysage : 1920×1080 px

○         Carré : 1080×1080 px

○         Verticale : 1080 x 1920 px

Guide : dimensions et formats des visuels du réseau social TikTok

X (Twitter)

●         Post Format carré : 800 x 800 pixels

●         Post Format vertical : 1080 x 1920 pixels

●         Post Format horizontal : 1200 x 675 pixels

●         Photo de profil : 400 x 400 pixels

●         Photo de couverture : 1500 x 500 pixels

●         Visuels ads

○          Carré : 800×800 px

À noter que pour l’ensemble des réseaux sociaux, les formats jpeg et png sont les plus répandus, ainsi que GIF. Cependant, pour certains formats sur quelques réseaux comme Pinterest ou Facebook, vous pourrez utiliser des formats BMP, GIF, JPG, PNG, TIFF, WEBP.  Pour ce qui est du format des vidéos, optez pour du MP4 ou MOV.

Guide : dimensions et formats des visuels du réseau social X (ex-Twitter)

Respectez, appliquez et c’est gagné !

Si vous respectez les bonnes dimensions et si vous vous adaptez aux spécificités, vous boosterez votre visibilité et permettrez à votre entreprise de gagner en temps et en résultats. 

Alors maintenant que vous connaissez toutes les tailles pour optimiser votre visibilité, mettez en place votre stratégie social media, attrapez vos appareils photos et créez du contenu attractif et de qualité !

Pour ne rien oublier des formats des réseaux sociaux, nos pandas vous ont préparé un guide avec toutes les dimensions social media de l’année.

L’importance du poisson d’avril dans le marketing

L'importance du poisson d'avril dans une stratégie marketing

Quand les campagnes de communication pour les fêtes de Pâques se terminent, le poisson d’avril arrive en force. Et ça, ça fait plaisir aux consommateurs et ça redresse la sympathie des marques. Tout le monde y gagne, dans la joie et la bonne humeur. Si c’est pas beau ça !

Quel est l’origine du poisson d’avril ? 

L’histoire et les origines du poisson d’avril sont soumis à beaucoup de débats. On discute souvent la période de l’histoire à laquelle cette tradition aurait commencé. Mais c’est souvent sur la version de Charles IX que se basent les explications. 

Au XVIᵉ siècle, on fêtait le premier jour de l’année le 1ᵉʳ avril. C’est à ce moment-là qu’on distribuait les étrennes et qu’on faisait la fête. Or, le roi Charles IX imposa, en 1654, une nouvelle date de début d’année : le 1ᵉʳ janvier. La majorité des Français ont donc adopté cette nouvelle coutume, mais certains ne pouvaient l’accepter. Ces derniers continuaient à le fêter le 1ᵉʳ avril. Leurs proches, se moquant d’eux, leur offraient alors des cadeaux humoristiques et leur faisaient des plaisanteries. Pas très sympa, mais bon, on est bien contents d’avoir cette tradition aujourd’hui, non ?

 

Pourquoi les marques profitent du 1ᵉʳ avril pour leur stratégie marketing ? 

C’est devenu une tradition pour les marques de faire des poissons d’avril. Bien que oui, elles adorent faire plaisir et rires leurs consommateurs lors d’événements se prêtant à l’humour, il y a tout de même un autre but derrière. En effet, le premier avril est LE moment pour les marques de développer une stratégie marketing au top du top. Mais quels sont les objectifs principaux derrière ces annonces humoristiques ?

Accroître la visibilité de la marque 

L’objectif des marques, derrière une action ou une campagne de communication poisson d’avril est d’abord un gain de notoriété. En effet, toutes les entreprises visent à faire le buzz auprès des consommateurs. Ça ne marche pas forcément à tous les coups, mais au moins les blagues amusent la galerie. 

La visibilité que peut apporter un bon poisson d’avril bien réussi pour une marque est généralement développée sur deux médias différents : les réseaux sociaux et les médias d’information comme les magazines ou journaux d’actualité. 

Les réseaux sociaux permettent une propagation de l’information très rapide, et donc de développer votre visibilité en un temps éclair, auprès d’une très large cible. 

Les médias d’information, que ce soit presse, TV, radio ou même internet, ont une stature plus sérieuse et professionnelle qui va venir crédibiliser votre marque, en plus de lui faire gagner en visibilité au vu du nombre de lecteurs, auditeurs ou spectateurs qu’ils touchent.  

Augmenter le capital sympathie de la marque 

Les consommateurs recherchent de plus en plus de marques innovantes, qui communiquent de manière originale et personnalisée En participant au poisson d’avril, les marques se montrent comme modernes, créatives, drôles et prêtes à tester de nouvelles choses. 

La marque montre qu’elle a fait l’effort de travailler dur pour créer un poisson d’avril recherché et de qualité. Les consommateurs sentent qu’elle s’investit pour eux et une proximité se crée entre les deux. On a tous tendance à mieux aimer quelqu’un qui nous fait un cadeau qui vient du cœur. Si, par exemple, un de nos pandas vous offre un beau bambou taillé, vous allez l’adorer, nan ? Ça vaut peut-être même un câlin…

Tester un insight consommateur en direct 

Bien que certains produits ou services fictifs qui « sortent » le 1ᵉʳ avril sont inconcevables et trop farfelus, d’autres pourraient être réalisables… C’est à ce moment-là que les marques en profitent pour tester la température et voir la réaction des consommateurs face à cette annonce. Soit ça passe, et le produit pourrait être réellement envisagé, soit ça casse et ça reste une blague du 1ᵉʳ avril. Malin, non ? 

Quels sont nos conseils pour créer sa stratégie marketing lors du 1ᵉʳ avril ?

Prenez en compte la période

Réfléchissez à la période dans laquelle se trouve votre entreprise. Peut-être, allez-vous fêter vos 10 ans cette année ou lancer une nouvelle filiale ? Il y a tant d’événements à exploiter pour que votre blague du premier avril fonctionne encore mieux. De plus, cela peut vous permettre d’annoncer la réelle sortie de cet événement par la suite. 

Amusez-vous !

Lorsqu’on est une marque, on essaie de garder une image impeccable et on ne se mouille pas trop. Le 1er avril, c’est l’occasion de se lâcher… sans faire tache. Soyez créatifs, proposez des idées lors des brainstormings, car même l’idée qui semble la plus stupide peut vous permettre de construire une campagne comique originale.

Mettez-vous à la place du consommateur 

Rappelez-vous que derrière votre campagne se cachent des consommateurs qui vont découvrir votre travail. Il ne faut ni les froisser, ni les accuser. Votre campagne doit être drôle sans dénigrer vos consommateurs, sinon ça fait l’effet inverse… et ça on ne veut pas !

Attention au Bad Buzz

C’est justement en créant une campagne trop orientée, dénonciatrice ou juste de mauvais goût que vous vous mettrez en porte-à-faux. Oui, on veut gagner de la visibilité, mais non, on ne veut pas que ce soit à cause d’un Bad Buzz. Surtout que les nouvelles vont vite sur Internet… Alors attention !

De plus, faites bien attention à sortir votre campagne le 1ᵉʳ avril et pas avant, ni après. Nombreuses sont les marques qui se sont déjà fait avoir et qui ont dû s’excuser mille fois de n’avoir pas bien gérer leur blague du 1ᵉʳ avril, tant cela paraissait réel. En même temps, pas facile de savoir que c’est un poisson d’avril si on sort la blague fin mars…

Les 5 meilleurs poissons d’avril des marques cette année

Bien sûr, puisqu’à la bambouseraie, on adore l’humour, on a épluché toutes les campagnes qui sont sorties en ce 1er avril. On vous a sélectionné les 5 meilleures, qui nous ont bien fait rire et bien marqué !

Des nouvelles chaussures… volumineuses, signées Adidas

La marque connue pour ses fameuses bandes a souhaité innover en proposant des chaussures toujours avec ce symbole, mais à la forme différenciante. Elle a décidé de reprendre le design de ses boites de chaussures pour en faire des chaussures. Pas très pratique… on n’est pas sûr que les fashions les adoptent.

Duolingo on ice

En plus de parler toutes les langues, Duolingo sait chanter ! La fameuse application de langues vivantes annonce la sortie de sa comédie musicale sur patins à glace.  Elle s’est donnée tous les moyens de nous épater et on pourrait presque croire que c’est vrai.

Le fameux BIC 4 couleurs, mais plus sécurisé

On a tous connu, un jour à l’école, la disparition de notre beau stylo BIC. Ou alors un filou qui nous a échangé les encres de couleurs à l’intérieur (histoire vraie, mon collègue panda me l’a fait la semaine dernière). Et bien, BIC en a conscience et il a décidé qu’il était temps d’y mettre fin. C’est donc la naissance du nouveau BIC cadenacé, pour éviter tout vol de votre beau stylo !

Decathlon et sa mini-tente Quechua, c’est trop mignon, on craque 

Il n’y a pas à dire, le Decathlon taiwannais est très créatif. Le 1ᵉʳ avril, il a décidé de sortir une mini-tente Quechua, pour lapins ! Dépliable et à la même esthétique, seule la taille est réduite… et la mignonnerie augmentée. 

La RATP est un peu en avance pour les Jeux Olympiques

Dans la nuit du 31 mars au 1ᵉʳ avril, la RATP a renommé plusieurs panneaux des stations du métro parisiens. Bien sûr, avec l’approche des Jeux Olympiques, il fallait rester dans le thème. La station Nation devient donc Natation, Bercy se nomme désormais Bercyclisme et Trocadero s’est transformé en Trocanoë. 

Que faut-il retenir du poisson d’avril des marques ? 

Si votre entreprise a le profil pour faire une bonne blague le 1ᵉʳ avril, foncez. Mais attention, votre campagne comique doit être réfléchie, adaptée à votre audience et ne doit pas être borderline. Sinon, vous frôlerez le bad buzz et ça, ça sent mauvais. Croyez-en notre parole de pandas. 

Pour obtenir la meilleure stratégie créative pour votre campagne de communication lors de cette fête, vous pouvez faire appel à une agence de communication. Vous obtiendrez de meilleurs résultats, sans possibilité de bad buzz pour vos blagues de poissons d’avril.

Pourquoi et comment adopter une démarche RSE au sein de son entreprise ?

Adopter une démarche RSE

Ces trois lettres peuvent vous sembler abstraites et pourtant vous en entendez parler de partout.  “Quelles sont leurs actions RSE ?”, “Ont-ils une politique RSE développée ?”…

La RSE est évoquée dans beaucoup de débats actuels. Elle prend de plus en plus d’importance dans la stratégie des entreprises et est même devenue partie intégrante de celles-ci.  Puisque vous souhaitez vous lancer dans une démarche de responsabilité sociale et environnementale et que vous vous posez des questions, nos pandas vont vous éclairer sur ce qu’est la RSE et comment elle est mise en œuvre par les entreprises !

La RSE, c’est quoi ?

Définition de la RSE

La Responsabilité Sociale des Entreprises ou Responsabilité Sociétale des Entreprises désigne, tout simplement, les moyens mis en place par une entreprise pour répondre aux enjeux du développement durable à moyen ou long terme. 

Quel est le but de la RSE ? 

Elle vise à améliorer les actions de l’entreprise pour répondre aux causes environnementales et améliorer le social et sociétal, en favorisant une meilleure qualité de travail pour les employés.

Souvent les entreprises suivent la norme ISO 26000, un document proclamé en 2010 permettant de guider les entreprises dans leur démarche de responsabilité sociale à travers 7 points clés : 

  • La gouvernance de l’organisation 
  • La contribution au développement local 
  • Les droits de l’Homme
  • Les relations et conditions au travail 
  • L’environnement 
  • La bonne pratique des affaires 
  • La protection du consommateur 

femmes d'origines différentes en réunion travaillant et changeant ensemble

Quels sont les 3 piliers RSE ? 

La Responsabilité Sociale des Entreprises repose sur 3 piliers : 

  • Environnemental
  • Social 
  • Économique (ou sociétal)

Ce sont des leviers sur lesquels capitaliser et baser des actions et pratiques concrètes permettant d’apporter un changement durable dans le monde du travail.

Qu’est-ce que le pilier environnemental ?  

Le pilier environnemental représente toutes les actions mises en place par les entreprises en faveur de la protection de l’environnement. Elles peuvent être réalisées en interne, comme recycler l’ensemble des déchets des employés, utiliser du papier recyclé, alimenter les infrastructures avec des énergies vertes… Mais ces pratiques peuvent aussi être liées à l’externe, en travaillant avec des fournisseurs respectueux de l’environnement, en encourageant à la mobilité durable…

Qu’est-ce que le pilier social ?

Le pilier social est essentiellement axé sur la relation de l’entreprise avec ses employés et les actions mises en place en faveur de la santé au travail, de la qualité de vie au travail… Ce pilier touche directement à l’éthique et aux droits de l’Homme. Il vise la suppression des inégalités et des discriminations en instaurant des actions en faveur de l’équité et de l’égalité sociale.

Qu’est-ce que le pilier économique (ou sociétal) ?

Le pilier économique s’axe surtout sur le local. Le but de l’organisation est de développer une économie locale ou du moins la soutenir. On vise un enrichissement de la société via la production des ressources et services dans une démarche locale. L’entreprise peut s’entourer de parties prenantes responsables, elle peut se fournir auprès de collaborateurs locaux, soutenir des sociétés ou initiatives locales et françaises… Elle se doit d’être transparente sur les actions menées.

mains de différentes personnes se rejoignent au centre pour montrer leur union

Des consommateurs de plus en plus informés

Le monde de la consommation a beaucoup évolué en l’espace de quelques dizaines d’années. Aujourd’hui, on tend vers une consommation plus éthique et responsable. Les consommateurs sont plus sensibles à l’origine des produits, à leurs critères énergétiques, aux démarches inclusives… Ils sont plus à même de comprendre et d’analyser les engagements d’une marque et leur choix se porte plus généralement sur des entreprises ayant une bonne RSE, quitte à ce que le produit final soit plus cher. 

Pourquoi adopter une démarche RSE en tant qu’entreprise ? 

Mettre en place une démarche RSE provient de la volonté de l’entreprise. Ce n’est pas une loi obligatoire et l’implication de l’entreprise va dépendre de son degré de préoccupation par rapport aux trois piliers environnemental, social et économique. 

Plus d’éthique dans le monde du travail

Adopter une démarche RSE en tant qu’entreprise permet tout d’abord de contribuer au développement des piliers et de permettre un changement vers le meilleur et le plus juste dans le monde du travail. Mais au-delà de contribuer au développement environnemental, social et économique, les entreprises ont beaucoup à gagner dans le développement de pratiques RSE.

Une bonne image d’entreprise  

Une entreprise ayant une RSE développée va bénéficier d’une amélioration de l’image de marque, que ce soit auprès de ses employés, futurs employés, de ses clients, de ses collaborateurs… Cela peut être un facteur de différenciation sur le marché, là où les clients pourraient venir vers vous plutôt qu’un concurrent qui ne se préoccupe pas des enjeux actuels et n’est pas responsable. De plus, en termes de recrutement, le développement de la marque employeur est essentielle. De plus en plus d’employés recherchent des entreprises centrées sur une bonne RSE, qui est devenue un critère important.

Réduction des risques 

Développer sa RSE va également permettre à une entreprise de réduire considérablement les risques, que ce soit au niveau social, environnemental et économique. En prenant en compte les évolutions de ces facteurs et en revoyant constamment leurs actions, les entreprises peuvent se protéger plus facilement des faux pas, des scandales, et respectent la loi…

RSE et développement durable sont-ils liés ? 

Pour développer sa RSE, l’entreprise doit connaître en amont les enjeux du développement durable, puisqu’elle s’appuie sur ces derniers. 

La RSE répond aux principes fondamentaux du développement durable : 

  • La lutte contre le changement climatique
  • La préservation de la biodiversité, milieux et ressources 
  • La cohésion sociale et solidarité entre territoires et générations
  • L’égalité Homme/Femme
  • Les modes de production et de consommation responsables 

Il est également important de prendre en compte les 17 Objectifs du Développement Durable. Un plan d’action prévu de 2015-2030, définissant les objectifs du millénaire, tant sur le plan environnemental qu’économique et social.

les 17 objectifs du RSE - AVICOM' - agence de communication Lyon

Quels sont les risques RSE ? 

Les organisations subissent des pressions venant de différents facteurs. Il ne faut ni les ignorer, ni se décourager devant elles. Vous pouvez totalement développer une bonne RSE en vous informant dessus et en les prenant en considération. Le mieux est de suivre leur évolution, voire de les anticiper.

Les pressions potentielles liées à la RSE pour votre entreprise peuvent être d’ordre juridique, financier, commercial ou social. 

Les risques juridiques

Les pressions juridiques vont regrouper toutes les exigences réglementaires menant à des risques de poursuite… De nombreuses lois peuvent freiner le développement de votre RSE.

Les risques financiers

Les pressions financières sont liées aux coûts ou économies liées aux pratiques environnementales et sociales de l’organisation…

Les risques commerciaux

Les pressions commerciales sont liées à l’accès au marché, les conditions contractuelles ou l’image de marque…

Les risques sociaux

Les pressions sociales et sociétales sont de l’ordre des communautés locales, le lobbying, les employés, les ONG, tout ce qui émane de la société et qui pourraient faire barrière à votre entreprise en cas de désaccord avec vos valeurs, vos actions…

Comment intégrer la RSE dans une entreprise ?

Premièrement, il va falloir se fier à un professionnel. De sorte à ne prendre aucun risque dans la gestion de votre stratégie RSE, embauchez un spécialiste ou faites appel à une agence de communication spécialisée dans ce domaine.

La seconde étape est l’analyse interne et externe de votre entreprise, sa communication et la gestion RSE de vos concurrents ou sur votre marché. Pour cela, vous pouvez avoir recours à certains outils d’analyse stratégique comme la matrice SWOT (les pandas vous l’expliquent juste ici). 

Lorsque vous aurez quadrillé l’ensemble de ce qui est fait en termes de gestion RSE sur votre marché, que vous aurez regroupé les actions que votre entreprise fait déjà, et mesuré votre responsabilité, il va falloir s’informer sur les réglementations et évolutions de cette dernière. Regardez ce qui est obligatoire en termes de lois et ce qui est le plus en adéquation avec vos valeurs, votre vision d’entreprise.

Lancez-vous !

Ne vous attendez pas à être les rois de la RSE du jour au lendemain. Vous n’aurez jamais l’ensemble de vos actions RSE parfaitement établies dès le début. Il vaut mieux faire un peu que pas du tout. Alors, ne vous mettez pas en tête que les changements apportés à votre RSE doivent être monumentaux. Vous pouvez commencer par de petits changements, comme le simple tri des déchets ou la sensibilisation de vos employés concernant les déplacements responsables en transports en commun ou à vélo, pour limiter la pollution citadine. 

Après avoir déterminé l’ensemble de vos nouvelles actions RSE, ne vous hâtez pas d’en parler à vos employés. Prenez le temps de tout organiser et de leur communiquer correctement, de manière claire et engageante. Vous pouvez mettre en place une campagne de communication en interne. 

Vous devrez également le communiquer en externe, auprès de vos clients, mais aussi de toutes vos autres parties prenantes. Cela permettra d’améliorer votre image et de montrer que vous êtes transparent et authentique. Vous pouvez bénéficier de labels ou protections officielles pour certifier et légitimer votre engagement environnemental. Vous devrez également publier vos chiffres, faire un reporting annuel, pour certifier de la véracité et l’efficacité de vos actions, via notamment un rapport RSE ou même sur votre DPEF (Déclaration de Performance Extra-Financière)…

Attention au greenwashing !

Mettre en place des actions RSE lorsqu’on veut réellement changer les choses, c’est bien, les inventer ou n’avoir aucune motivation sincère derrière, c’est mal… Et ça vaut des scandales et bad buzz… 

Faites attention à ne pas tomber dans du greenwashing, c’est-à-dire se prétendre plus responsable et engagé qu’on ne l’est réellement. Premièrement, les consommateurs le voient très vite, et deuxièmement… On n’a pas vraiment la conscience tranquille…

champ vert avec un dessin d'œil humain au centre

Que faut-il retenir ?

La Responsabilité Sociale des Entreprises est la considération des enjeux du développement durable (sociaux, environnementaux et économiques) par les entreprises. 

Il n’y a pas de bonne ou mauvaise manière de construire votre politique RSE. Vous n’avez pas besoin d’être parfait sur tous les aspects et de cocher toutes les cases. La démarche de vouloir changer vers un mode de fonctionnement plus écoresponsable, plus égalitaire et équitable est déjà un grand pas, même si vos actions sont minimes au début. 

Alors, lancez-vous, et vous verrez très vite votre performance globale s’améliorer, des résultats apparaître et les bénéfices de ces décisions.